Votreflore bactérienne risque de changer. Votre microbiome est constitué de toutes les bactéries vivant dans votre systÚme digestif. Les chercheurs étudient actuellement la maniÚre dont cette flore bactérienne unique influencerait notre santé et notre risque de maladies. Certaines études montrent que notre alimentation peut rapidement

1. Le RĂ©gime PalĂ©olithique Aujourd’hui les nouvelles technologies nous permettent d’analyser les ossements de nos ancĂȘtres de l’époque palĂ©olithique, ce qui nous amĂšne Ă  faire des dĂ©couvertes majeures en ce qui concerne leurs habitudes faut savoir qu’il n’existe pas un seul rĂ©gime palĂ©olithique, il y en a des tas, et ils dĂ©pendaient en grande partie des conditions de vies dans lesquelles nos ancĂȘtres se trouvaient. Ainsi, un homme de cette Ă©poque vivant sur le continent europĂ©en aurait une alimentation totalement diffĂ©rente de celui vivant sur le continent africain. 2. L’évolution des fruits et lĂ©gumes Le rĂ©gime alimentaire de l’homo sapiens il y a 200 milles ans Ă©tait trĂšs carnĂ©. Cependant, l’image que l’on peut avoir des hommes prĂ©historiques chassant le mammouth reste trĂšs clichĂ©, et au final s’avĂšre fausse puisqu’à cette Ă©poque l’homme se nourrissait essentiellement de charogne. En effet il Ă©tait bien plus facile de se disputer les restes d’un animal avec les autres charognards que d’aller chasser un mammouth de 12 tonnes vivant gĂ©nĂ©ralement en troupeau
A l’époque palĂ©olithique l’homme ne nourrissait donc de viande, mais aussi de “fruits et lĂ©gumes”. Ce qu’il faut savoir c’est qu’à l’époque palĂ©olithique les fruits et lĂ©gumes que l’on pouvait trouver n’était en aucun cas prĂ©sents sous la forme que nous connaissons aujourd’hui. Les hommes Ă  l’époque mangeaient des baies, des racines, des feuilles etc. mais pas les lĂ©gumes que l’on connaĂźt au cours de l’histoire avec l’apparition de l’agriculture, de la sĂ©lection et des croisements des variĂ©tĂ©s que l’humanitĂ© a su faire Ă©voluer la nature et ainsi obtenir nos fruits et lĂ©gumes d’aujourd’hui. 3. L’influence de la dĂ©couverte du feu sur notre alimentation La maĂźtrise du feu par l’Homme est quelque chose qui est arrivĂ©e relativement tard. Avant la maĂźtrise du feu l’Homme se nourrissait exclusivement d’aliments crus, les “lĂ©gumes” comme la viande. Le fait de cuire les aliments a fait du bien Ă  notre santĂ© et notre alimentation en gĂ©nĂ©ral. Par exemple, une viande cuite permet d’obtenir un meilleur apport Ă©nergĂ©tique d’une viande crue. De mĂȘme la digestion s’en trouva grandement revanche, ce qui est vrai pour la viande n’est pas forcĂ©ment vrai pour les lĂ©gumes. La cuisson des lĂ©gumes, notamment Ă  l’eau, fait parfois perdre des vitamines naturellement prĂ©sentes dans les l’inverse, la cuissons de certains lĂ©gumes permettaient de les rendre tout simplement comestibles. Les racines de manioc par exemple crues, elles provoquent des intoxications sĂ©vĂšres alors qu’une fois bien cuites, elles reprĂ©sentent un trĂšs bon apport nutritif. 4. Les diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s de lĂ©gumes Le nombre de variĂ©tĂ©s de fruits et lĂ©gumes est astronomique, vraiment. Pour les tomates par exemple il existe des milliers de variĂ©tĂ©s Ă  travers le monde ! Oui monsieur ! Des milliers ! Le nombre exact est compliquĂ© Ă  donner Ă©tant donnĂ© que plus de 95% des variĂ©tĂ©s sont officiellement considĂ©rĂ©es comme illĂ©gales
 Sur les milliers de variĂ©tĂ©s de tomates dont je vous parle, savez-vous combien nous en cultivons sur Terre ? Uniquement 200. Et c’est pareil pour tous les types de fruits et lĂ©gumes. La lĂ©gislation française interdit la commercialisation de fruits et lĂ©gumes issus d’agriculture paysanne Les maraĂźchers n’ont pas le droit d’acheter ou de s’échanger des graines de “vieux lĂ©gumes”, et n’ont bien Ă©videmment pas le droit de vendre les fruits ou lĂ©gumes issus de ces graines
 Quiconque serait surpris Ă  vendre de “vieux lĂ©gumes” s’exposerait Ă  des amendes particuliĂšrement dissuasives, voire Ă  des peines d’emprisonnement
 5. Les dĂ©but de l’agriculture et la sĂ©dentarisation Au cours du temps, l’Homme s’est peu Ă  peu sĂ©dentarisĂ©. Cette sĂ©dentarisation a donnĂ© lieu Ă  l’invention de l’agriculture et de l’élevage. L’agriculture donna lieu Ă©galement Ă  une sĂ©lection des variĂ©tĂ©s de fruits et lĂ©gumes. Cette sĂ©lection jusqu’alors assez empirique s’est nettement dĂ©veloppĂ©e, principalement durant le dernier aujourd’hui nous avons une vĂ©ritable standardisation des fruits et lĂ©gumes, oĂč les variĂ©tĂ©s sont pauvres, tant au niveau goĂ»t qu’en apports nutritifs. La standardisation vient du fait qu’aprĂšs la Seconde Guerre Mondiale une industrialisation alimentaire s’est mise en populations ont vĂ©cu le manque, le rationnement et la faim. C’est pour faire face Ă  cette peur de manquer Ă  nouveau que les industriels ont dĂ©cidĂ© de produire en masse . Produire toujours plus. C’est dans cette optique lĂ  qu’une standardisation a Ă©tĂ© faite sur les fruits et lĂ©gumes, afin de produire peu de variĂ©tĂ©s, mais de les produire en masse. Les variĂ©tĂ©s qui ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©es l’ont d’ailleurs Ă©tĂ© par rapport Ă  leurs rĂ©sistances aux maladies et Ă  leurs vitesse de croissance / production, et non par rapport Ă  leurs goĂ»ts. 6. L’évolution de l’anatomie humaine L’anatomie humaine a connu des Ă©volutions Ă  travers le temps, notamment par rapport Ă  ce que l’on mangeait Ă©volution des dents, du cerveau etc.Suite Ă  la sĂ©dentarisation et Ă  l’agriculture, l’Homme a commencĂ© Ă  vivre au contact d’autres animaux, crĂ©ant une promiscuitĂ© avec ces derniers. Suite Ă  ce contact rĂ©gulier, des maladies ont commencĂ© Ă  apparaĂźtre et Ă  se dĂ©velopper. L’Homme sĂ©dentaire s’est vu confrontĂ© Ă  faire face Ă  des maladies qu’il ne connaissait pas avant, par exemple la peste qui est transmise par la puce du rat. 7. Le lactose et le corps humain On sait Ă©galement que durant cette pĂ©riode le patrimoine gĂ©nĂ©tique de l’Homme a changĂ© et s’est adaptĂ© aux nouveaux aliments; et notamment au lactose, aliment pour lequel l’Homme adulte est totalement inadaptĂ©. Le seul lait que l’Homme buvait Ă  l’époque Ă©tait le lait de sa mĂšre en Ă©tant nourrisson, au delĂ  il devenait lactose est d’ailleurs intĂ©ressant de constater que de nos jours la consommation rĂ©guliĂšre de produits laitiers est quelque chose de courant. Et pourtant nous savons maintenant que cela est mauvais pour notre santĂ©, et que l’ingestion de lait aprĂšs sevrage serait la cause du dĂ©veloppement de nombreuses maladies osseuses dont l’ostĂ©oporose
 8. Le sucre Le sucre a Ă©tĂ© introduit principalement grĂące Ă  la dĂ©couverte de la canne Ă  sucre qui est connu de façon trĂšs ancienne. Son origine serait la Nouvelle GuinĂ©e. Elle a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme un mĂ©dicament pendant un long moment. La canne Ă  sucre a ensuite Ă©tĂ© importĂ©e, et cultivĂ©e, notamment dans les Ăźles mĂ©diterranĂ©ennes. Le sucre Ă©tait quelque chose de trĂšs cher pendant une longue pĂ©riode, il Ă©tait donc rĂ©servĂ© aux riches. Ceux ci ont rapidement Ă©tĂ© victimes des mĂ©faits de ce produit nouveau carie dentaire et obĂ©sitĂ© parmi d’autres. D’ailleurs, pendant longtemps le fait d’ĂȘtre “gros” Ă©tait considĂ©rĂ© comme signe de richesse par la sociĂ©tĂ©. De nos jours la tendance s’inverse, les gens plus modestes ont tendance Ă  manger mal par manque de moyens, se rabattent sur les aliments ultra transformĂ©s et donc Ă  ĂȘtre les premiĂšres victimes de l’obĂ©sité Durant la pĂ©riode palĂ©olithique les apports en sucre de l’Homme Ă©taient trĂšs limitĂ©s, mis Ă  part le sucre naturellement prĂ©sent dans les baies ,les fruits et les racines qu’ils pouvaient manger. Leurs apports principaux restaient les graisses qui Ă©tait transformĂ©es par l’ le sucre est omniprĂ©sent dans le secteur de l’agro-alimentaire et sert principalement comme un exhausteur de goĂ»t, mais Ă©galement pour la conservation des constitue une menace trĂšs importante pour notre santĂ©. 9. Comment bien manger de nos jours ? L’industrialisation de la sociĂ©tĂ©, et notamment le secteur agro-alimentaire fait qu’aujourd’hui nous nous retrouvons face Ă  des produits sans goĂ»t, ayant des apports nutritifs extrĂȘmement rĂ©duits par rapport Ă  leurs apports d’origine. Beaucoup de produits prĂ©sents sont des produits dits “transformĂ©s”, ce sont gĂ©nĂ©ralement les pires choses Ă  consommer car c’est forcĂ©ment synonyme d’ajouts de choses que l’on aurait jamais mis dans notre alimentation si nous cuisinions meilleur conseil Ă  donner pour bien manger de nos jours, c’est de privilĂ©gier les aliments issus de l’agriculture biologique et peu, voir pas du tout transformĂ©s. En rĂ©sumĂ©, pour bien manger il faut revenir aux fondamentaux se remettre Ă  cuisiner Ă  partir des produits de base. Le problĂšme c’est que dans notre sociĂ©tĂ© moderne les gens ont de moins en moins de temps, et donc ont tendance Ă  en gagner sur tout, notamment sur le fait de cuisiner sa nourriture
 10. Les jus d’oranges Les jus d’oranges ont ce dĂ©faut de perdre une grande partie des fibres naturellement prĂ©sentes dans le fruit d’origine, il est donc bien plus intĂ©ressant d’un point de vue nutritif de consommer une orange qu’un verre de jus d’orange. Encore faut il bien choisir son jus d’orange le meilleur est celui que vous pressez vous-mĂȘme, ensuite les jus pressĂ©s dans le commerce. Les jus les moins chers ne contiennent pratiquement plus que du sirop de glucose, des colorants et de l’eau, il vaut mieux les Ă©viter. 11. L’industrie agro-alimentaire L’industrie agro-alimentaire produit en masse, baissant ainsi les coĂ»ts de production mais par la mĂȘme la qualitĂ© des produits
 Aujourd’hui nous nous retrouvons avec des aliments transformĂ©s bourrĂ©s de mauvaises choses sucre, gras saturĂ©, colorants etc. et avec des fruits et lĂ©gumes au goĂ»t pauvre et aux apports nutritifs la standardisation est au cƓur de notre sociĂ©tĂ©, et notamment dans le secteur alimentaire. Les fruits et lĂ©gumes doivent ĂȘtre calibrĂ©s, propres et sans taches pour ĂȘtre disposĂ©s dans nos Ă©tals, sinon ils sont jugĂ©s comme Ă©tant impropre Ă  la consommation et jetĂ©s Ă  la poubelle. Une seule pomme de 1950 Ă©quivaut Ă  100 pommes aujourd’hui en terme d’apports nutritifs et de vitamines
 12. La viande issue de l’industrie De nos jours, la viande est produite de la mĂȘme façon que les autres produits dans l’agro-alimentaire Ă  la chaĂźne, en masse et toujours dans un soucis de rentabilitĂ© et de baisse des coĂ»tsL’industrie agro-alimentaire est Ă  l’origine des pires crises sanitaires que l’Homme a pu connaĂźtre jusqu’à prĂ©sent. La maladie de la vache folle dans les annĂ©es 2000 par exemple. Cette maladie est apparue parce les vaches, qui sont donc des herbivores, Ă©taient nourries avec de la farine de poissons. On faisait littĂ©ralement manger de la viande Ă  un herbivore par soucis de productivitĂ© et de rentabilitĂ©, aberrant. 13. Les pathologies liĂ©es Ă  l’agro-alimentaire L’industrie agro-alimentaire a recours Ă  de fortes actions de lobbying pour arriver Ă  “stimuler” les ventes du secteur. Pour preuve en 2016 la ministre de la santĂ© recommandait encore Ă  la population française de consommer 3 produits laitiers PAR JOUR
 Une aberration scientifique et nutritionnelle quand on sait la rĂ©alitĂ© des choses. Vous vous souviendrez probablement tous de l’une de ces phrases de spots publicitaires “les produits laitiers sont nos amis pour la vie” ou “aide Ă  fixer le calcium sur les os” ou encore “le sucre vous Ă©veille Ă  la vie”Ces campagnes de pub ayant pour but de stimuler les ventes Ă©taient choses communes avant. Pour le cas du lait, il nous Ă©tait prĂŽnĂ© comme Ă©tant bon pour notre santĂ© et nos os. Aujourd’hui nous savons que c’était un mensonge. L’Homme n’est pas censĂ© consommer du lait aprĂšs sevrage, aucune autre espĂšce que la nĂŽtre ne consomme de lait aprĂšs sevrage, et encore moins le lait d’une autre espĂšce
De plus, l’argument comme quoi le lait renforcerait nos os est malhonnĂȘte. Imaginons un peu prenons l’exemple d’un marathon. Un coureur qui commencerait le marathon en sprintant dĂšs le dĂ©but a peu de chance de finir la course
 L’effet du lait sur nos os c’est la mĂȘme chose. Nous aurons effectivement des os renforcĂ©s en Ă©tant jeune, mais en vieillissant nos os seraient fragilisĂ©s beaucoup plus tĂŽt. Il est prouvĂ© que les consommateurs de lait ont plus souvent de graves problĂšmes liĂ©s la consommation de lait qui favorise des maladies comme l’ y a Ă  l’heure actuelle le mĂȘme problĂšme avec la consommation de viande qui provoquerait plusieurs formes de cancer dont le cancer du cĂŽlon et des problĂšmes cardio-vasculaires. 14. Recommandation et le mot de la faim Pour conclure, de nos jours au vu de ce qui se fait dans la grande distribution et dans le secteur agro-alimentaire, nous vous conseillons de revenir Ă  l’essentiel. D’éviter au maximum les aliments transformĂ©s et de privilĂ©gier les ingrĂ©dients “de base” comme peuvent l’ĂȘtre les fruits et lĂ©gumes. Pour faire simple, si l’on veut savoir ce que l’on mange aujourd’hui, et donc bien manger, il faut impĂ©rativement revenir devant les fourneaux. Il faut cuisiner ce que l’on notre sociĂ©tĂ© actuelle cela est assez compliquĂ© vous me direz, nous courrons tous aprĂšs le temps, et nous privilĂ©gions des choses au dĂ©triment d’autres. C’est donc une rĂ©elle dĂ©cision Ă  prendre et un engagement envers soi-mĂȘme. Il n’y a pas de secret, pour mieux manger il faut cuisiner. Revenons aux bases et Ă  l’essentielle. Partager cet article 20% SUR VOTRE PREMIÈRE COMMANDE ! Envie que l'on cuisine des plats diĂ©tĂ©tiques pour vous ? Plus d'articles et recettes Ă  dĂ©couvrir ! Chaque semaine un nouveau menu diĂ©tĂ©tique frais-maison livrĂ© Ă  domicile

Cest au cours de l’histoire avec l’apparition de l’agriculture, de la sĂ©lection et des croisements des variĂ©tĂ©s que l’humanitĂ© a su faire Ă©voluer la nature et ainsi obtenir nos fruits et lĂ©gumes d’aujourd’hui. 3. L’influence de la dĂ©couverte du
Perdre du ventre le bon rĂ©gime anti-ballonnements Eviter les ballonnements, c’est d’abord veiller Ă  l’équilibre de sa flore intestinale. Pour que les bonnes bactĂ©ries qui la tapissent continuent Ă  faciliter digestion et absorption des nutriments et Ă  faire barrage aux mauvaises bactĂ©ries facteurs de dĂ©sordres intestinaux, il faut agir sur trois fronts Mastiquer 20 mn par repas sinon les aliments arrivent dans l’estomac encore en morceaux, pas assez imprĂ©gnĂ©s de salive et ils fermentent. De plus, le stress qui motive un repas avalĂ© vite fait, se traduit en ballonnements. En revanche, Ă©viter de mĂącher des chewing-gums qui font avaler de l’ quatre repas plutĂŽt que trois afin d’éviter les repas trop copieux, difficiles Ă  digĂ©rer. Ils sont souvent suivis d’un jeĂ»ne puis d’un excĂšs qui dĂ©boussole le systĂšme digestif et fait gonfler. RĂ©viser son alimentation en Ă©vitant viandes grasses et cuissons trop riches qui ralentissent la digestion, les condiments et les Ă©pices agressives cornichons, poivre, piment, moutarde forte. Faire le tri parmi les fruits, lĂ©gumes, pains et produits laitiers car certains font illico prendre du ventre
 Des fruits et lĂ©gumes, oui, mais pas tous Pour avoir un ventre plat, il faut lutter contre la constipation, donc privilĂ©gier les aliments riches en fibres fruits et lĂ©gumes. Mais pas tous, car certaines fibres, trop dures, irritent les intestins et favorisent la Ă  Ă©viter - Les lĂ©gumineuses lentilles, flageolets, pois chiches, Les lĂ©gumes Ă  goĂ»t fort toutes variĂ©tĂ©s de choux et de cĂ©leris, poireaux, Les cruditĂ©s et lĂ©gumes crus. Si vous tolĂ©rez mal tomates et concombres, Ă©pluchez-les et Les fruits les plus riches en sorbitol cerises, prunes dont les effets laxatifs favorisent les ballonnements. Aliments Ă  consommer - LĂ©gumes haricots verts fins, carottes cuites, salade cuite et d’endives
- Fruits cuits pruneaux biens mĂ»rs. Poires, pĂȘches toujours Ă©pluchĂ©s mĂȘme si ainsi on perd en vitamine, on supprime aussi les fibres ventre plat - Eclater les fibres des lĂ©gumineuses en les faisant tremper puis cuire en purĂ©e ou en soupe. Cela annule l’effet gonflette. Idem en cuisant les fruits ou en les prĂ©fĂ©rant sous forme de compote, smoothie ou jus. Des produits laitiers mais pas de lait entier Dans la famille des produits laitiers, ce qui peut faire gonfler, c’est le lactose contenu dans le lait intolĂ©rance au lactose. Et plus on vieillit, moins on le digĂšre car on sĂ©crĂšte moins de lactase, l’enzyme qui permet de digĂ©rer le donc de consommer du lait entier sous forme de boisson, de yaourt ou de de lait et laitages Ă©crĂ©mĂ©s- yaourt, fromage blanc, petits suisses; - de fromages Ă  pĂąte cuite gruyĂšre, tomme des PyrĂ©nĂ©es...Pensez au lait de soja, dĂ©pourvu de lactose donc plus digeste. Tout comme le lait appauvri en lactose, mais Ă  l’arriĂšre-goĂ»t un peu ventre plat - Une cure de pro biotiques bonnes bactĂ©ries anti-ballonnements Ă  raison de un Ă  deux yaourts au bifidus par jour durant deux Ă  trois semaines. Pas plus en excĂšs, les pro biotiques peuvent entraĂźner une prise de poids. De l’eau, oui, mais plate et riche en magnĂ©sium L’eau est indispensable Ă  une bonne digestion. Mais certaines Ă©tudes montrent que boire en mangeant dilue les enzymes digestives et perturbe la digestion. Donc, pas plus d’un verre par repas et pas n’importe quelle boisson!Evitez l’abus de boissons gazeuses qui provoquent une distension des parois de l’estomac et de l’intestin. Gare aussi Ă  l’abus de boissons glacĂ©es, d’alcool ou de cafĂ© fort qui irrite le tube d’eaux minĂ©rales plates riches en magnĂ©sium HĂ©par, Contrex qui ont une lĂ©gĂšre action laxative. Et seulement aprĂšs un repas de fĂȘte, de l’eau de Vichy, riche en ventre plat - Une Ă  deux fois par jour, complĂ©tez votre consommation d’eau quotidienne 1,5l, d’une tisane aux vertus digestives infusion de fenouil ou de thym. Du pain, oui, mais pas trop frais Le pain est riche en fibres, donc bon pour le transit intestinal. C’est aussi un aliment-Ă©ponge. Pour Ă©viter qu’il ne provoque des ballonnements, il faut bien le en prioritĂ© le pain trop frais et de surcroĂźt, chaud car l’amidon favorise les ballonnements. Evitez aussi le pain au son, trop agressif pour l’ de pain complet au levain plus digeste que le pain complet classique. Ou bien de biscottes ou de pain grillĂ©. Sachez que c’est la mie du pain qui peut faire gonfler. PrĂ©fĂ©rez donc la croĂ»te. Astuce ventre plat - Les cĂ©rĂ©ales complĂštes un peu plus irritantes que les cĂ©rĂ©ales raffinĂ©es mais beaucoup plus riches en fibres, elles amĂ©liorent le transit. A consommer de temps en temps Ă  la place du pain sous forme de riz, pĂątes, boulgour ou quinoa. Votre semaine de menus "ventre plat" Vous pouvez perdre environ cinq centimĂštres de tour de taille en suivant ce programme, concoctĂ© par Marie-Laure AndrĂ©, en cas de cholestĂ©rol, ces menus doivent ĂȘtre amĂ©nagĂ©s en cas de diabĂšte remplacez les desserts sucrĂ©s flans, yaourts sucrĂ©s, fruits au sirop, biscuits par des desserts nature yaourt et fromage blanc nature, compotes sans sucre ajoutĂ©.Article rĂ©alisĂ© avec la collaboration de Marie-Laure AndrĂ©, diĂ©tĂ©ticienne, auteur du blog Vous aimez cet article ? Cet Ă©tĂ©, profitez de nos offres d’abonnement Ă  prix rĂ©duits pour partager ensemble bonne humeur, conseils santĂ©, bons plans et infos immanquables ! Avec Notre Temps SantĂ© & Bien-Être, prenez soin de vous. ï»żEncas de diabĂšte, un rĂ©gime spĂ©cifique s'impose. Ce rĂ©gime n'est pas trĂšs diffĂ©rent de celui que nous devrions tous suivre, il implique donc le suivi de certaines rĂšgles pour Ă©viter les En cette Ăšre de rectitude alimentaire, le dicton Manger une pomme par jour Ă©loigne le mĂ©decin pour toujours n’aura jamais eu autant de portĂ©e. Nous sommes dĂ©sormais bien informĂ©s sur l’importance d’une saine alimentation pour prĂ©venir nombre de maladies chroniques, dont les diverses formes d’arthrite ou de cancer. La recherche dĂ©montre que celles-ci ont souvent un Ă©lĂ©ment en commun l’inflammation chronique, qui serait Ă  Ă©viter comme la peste. Nous aimerions tous savoir comment nous en prĂ©munir ou freiner sa progression. La solution passerait-elle par un geste aussi simple que celui de manger certains aliments et d’en proscrire d’autres ? Entrevue avec la nutritionniste Roxanne Papineau. Quelles sont les causes de l’inflammation chronique ? Plusieurs causes coexistent. Les maladies inflammatoires chroniques sont multiples toutes les formes d’arthrite, les maladies inflammatoires de l’intestin, le psoriasis et plusieurs maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives qui ont une composante inflammatoire. Dans ces maladies, il y a toujours une composante gĂ©nĂ©tique. Par exemple, on retrouve des modifications dans certains gĂšnes qui sont communes aux individus prĂ©sentant une maladie inflammatoire donnĂ©e. Les gĂšnes peuvent donc prĂ©disposer Ă  avoir une maladie inflammatoire. À cela s’ajoute toujours une composante environnementale, qui inclut entre autres l’alimentation, le stress et certains mĂ©dicaments. Autrement dit, ça prend toujours plusieurs ingrĂ©dients pour faire un gĂąteau. Dans le cas des maladies inflammatoires, on s’intĂ©resse Ă  ce qui est commun aux personnes qui vont les dĂ©velopper. Personnellement, je m’intĂ©resse particuliĂšrement Ă  l’inflammation chronique et Ă  l’implication dans celle-ci de l’intestin et du microbiote, car on estime que 70 % des cellules immunitaires dans le corps sont produites dans l’intestin. Pourquoi considĂšre-t-on que l’intestin est autant impliquĂ© dans l’inflammation ? Quand on compare le microbiote d’une personne avec une maladie inflammatoire comme le psoriasis ou une arthrite avec celui d’une personne qui n’a pas de maladie inflammatoire, on se rend compte que leurs microbiotes sont diffĂ©rents. Comment ? Le microbiote de la personne qui souffre d’une maladie inflammatoire a moins de diversitĂ© dans les bactĂ©ries prĂ©sentes. Il a aussi des bactĂ©ries qui sont plus ou moins prĂ©sentes, et on sait maintenant que ces bactĂ©ries dans l’intestin sĂ©crĂštent des molĂ©cules qui sont soit pro-inflammatoires, soit anti-inflammatoires. Tout l’environnement intestinal est important, autant la couche de mucus que les cellules Ă©pithĂ©liales de la membrane de l’intestin. L’intestin des personnes atteintes d’une ou plusieurs maladies inflammatoires dĂ©montre souvent une dysbiose intestinale, c’est-Ă -dire que les bactĂ©ries prĂ©sentes ne sont pas optimales en quantitĂ© ou en diversitĂ©. Il peut aussi prĂ©senter une hypermĂ©abilitĂ© intestinale qui prĂ©dispose Ă  des rĂ©actions inflammatoires systĂ©miques. Plusieurs causes peuvent ĂȘtre impliquĂ©es dans une dysbiose, dont les antibiotiques pris durant l’enfance, qui ont des effets sur le dĂ©veloppement du microbiote. On constate que les enfants qui ont Ă©tĂ© traitĂ©s par antibiotiques Ă  rĂ©pĂ©tition ont plus de chances de prĂ©senter une dysbiose, qui pourrait prĂ©disposer Ă  certaines maladies inflammatoires. Aussi, souvent le stress est un dĂ©clencheur d’une maladie inflammatoire, car le lien est trĂšs fort entre l’intestin et le cerveau. Et parfois, une maladie inflammatoire, comme l’arthrite, se dĂ©veloppe Ă  la suite d’une infection qui perturbe le microbiote de façon permanente. Donc, le microbiote n’est pas le seul Ă  ĂȘtre impliquĂ© dans les maladies inflammatoires, mais nous pouvons Ă©tablir plusieurs liens entre lui et elles. Les causes Ă©tant multifactorielles, Ă  quel degrĂ© l’alimentation peut-elle faire une diffĂ©rence ? Une des lacunes dans les Ă©tudes en nutrition, c’est qu’on ne peut pas contrĂŽler les paramĂštres. Par exemple, on ne peut pas contrĂŽler la consommation d’omĂ©ga-3 chez des sujets pendant 15 ans et voir les effets sur la santĂ©. Il y aura toujours d’autres facteurs confondants qui influenceront les rĂ©sultats, comme des mĂ©dicaments, des aliments ou l’environnement. Par contre, on est capable, avec les Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques, de dĂ©celer certains schĂ©mas alimentaires. Par exemple, les gens qui ont tel type d’alimentation ont moins tendance Ă  dĂ©velopper telle maladie comparativement Ă  ceux qui ont un autre type d’alimentation. Et dans les maladies inflammatoires, certains aliments nĂ©fastes semblent plus souvent impliquĂ©s la viande rouge et les viandes transformĂ©es. Pourquoi ? Lorsqu’on creuse la question, on se rend compte que ces aliments ont des effets sur le microbiote. Lorsque l’intestin digĂšre ces protĂ©ines animales, les bactĂ©ries protĂ©olytiques produisent des dĂ©chets pro-inflammatoires. Ceux-ci sont normalement Ă©liminĂ©s dans les selles, mais si on consomme ces aliments en trop grande quantitĂ©, l’accumulation de dĂ©chets crĂ©e un milieu inflammatoire nĂ©faste pour la santĂ©. Donc, si on mange trop de protĂ©ines, Ă  long terme, on favorise la croissance de bactĂ©ries protĂ©olytiques, au dĂ©triment d’autres bactĂ©ries plus favorables Ă  la santĂ© du microbiote. À l’inverse, lorsqu’on consomme beaucoup de fibres, les bactĂ©ries de type saccharolytique seront capables de digĂ©rer ces fibres et de les transformer en acides gras Ă  chaĂźnes courtes. Ceux-ci sont trĂšs importants pour la santĂ© de l’intestin, car ils ont un effet bĂ©nĂ©fique sur la muqueuse intestinale et ils produisent des cellules T rĂ©gulatrices, qui elles rĂ©duisent l’inflammation. Donc, si notre alimentation est riche en protĂ©ines et faible en fibres, l’équilibre intestinal est perturbĂ© et le milieu devient propice Ă  l’inflammation. Plusieurs nutriments autres que les fibres peuvent avoir un effet modeste sur le risque ou le contrĂŽle de l’inflammation. Parmi ceux-ci, les antioxydants qu’on retrouve dans les petits fruits jouent un rĂŽle prĂ©biotique qui favorise la croissance des bonnes bactĂ©ries. Il y a aussi les bons gras, comme les omĂ©ga-3 et les omĂ©ga-9, qu’on retrouve dans les poissons et l’huile d’olive et qui diminuent l’inflammation, contrairement aux gras saturĂ©s de la viande et des fromages, dont les effets sont moins favorables. Lorsqu’on combine tous ces Ă©lĂ©ments, on peut dĂ©terminer ce qui constitue une alimentation idĂ©ale avec des propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires. Ce n’est pas une panacĂ©e, bien sĂ»r. En revanche, toutes les Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques constatent les effets protecteurs d’une alimentation vĂ©gĂ©tale, riche en fibres et moins transformĂ©e, et les effets plus dĂ©lĂ©tĂšres de l’alimentation nord-amĂ©ricaine la Western Diet, qui est plus riche en gras, en protĂ©ines et en aliments transformĂ©s. Si certains aliments aident Ă  rĂ©duire les effets d’une maladie inflammatoire, pourraient-ils la prĂ©venir ? Aucune Ă©tude ne pourra vĂ©rifier cela. En revanche, pour une personne qui aurait une prĂ©disposition gĂ©nĂ©tique, le fait de bien manger lui permet de mettre toutes les chances de son cĂŽtĂ©. Effectivement, adopter une alimentation plus anti-inflammatoire aide Ă  avoir un microbiote le plus sain possible. Et lorsqu’une personne a dĂ©jĂ  une maladie, avec un microbiote dĂ©jĂ  perturbĂ©, une telle alimentation peut permettre d’amĂ©liorer la situation. L’idĂ©e est de mettre l’accent sur ce qu’on a de bon, soit de favoriser la croissance de nos bonnes bactĂ©ries dĂ©jĂ  prĂ©sentes dans l’intestin. Le microbiote propre Ă  chaque individu est en grande partie dĂ©terminĂ© avant l’ñge de 4-5 ans. Toutefois, il peut ĂȘtre modulĂ© par l’alimentation, mais les bonnes habitudes doivent ĂȘtre gardĂ©es Ă  long terme. Autrement, puisque le microbiote est rĂ©silient, il retrouvera son Ă©tat de base dĂšs les bonnes habitudes cessĂ©es. Ça implique donc un changement d’habitudes de vie pour maintenir des comportements alimentaires qui sont plus favorables Ă  la rĂ©duction de l’inflammation. Vous dites que le microbiote est dĂ©terminĂ© Ă  4-5 ans ; peut-il dĂ©jĂ  ĂȘtre en dysbiose si jeune ? Le microbiote se dĂ©termine en fait de 0 Ă  2 ans. Il y a une grande diffĂ©rence entre un enfant qui est nĂ© par voie vaginale et un autre nĂ© par cĂ©sarienne. Par voie vaginale, la mĂšre lui transmet son microbiote Ă  elle, par des bactĂ©ries vaginales et fĂ©cales, pendant l’accouchement. Ce sont ces premiĂšres bactĂ©ries qui vont coloniser le tube digestif de l’enfant. Par cĂ©sarienne, les premiĂšres bactĂ©ries qui vont coloniser son tube digestif sont celles de l’environnement, du mĂ©decin et de la salle aseptisĂ©e. Donc, dĂ©jĂ  lĂ , on est capable dans certaines Ă©tudes de voir que l’accouchement vaginal est beaucoup plus protecteur de l’immunitĂ© du nouveau-nĂ©. Ensuite, si l’enfant est nourri par le lait maternel, des prĂ©biotiques et des probiotiques sont transmis naturellement. Ceux-ci favorisent un microbiote diversifiĂ©. Avec les formules lactĂ©es artificielles, on n’obtient pas autant de bons nutriments. Ces facteurs influencent ce qui va pousser dans le tube digestif. Puis, il y a les fameux antibiotiques qui embarquent, surtout les antibiotiques Ă  large spectre, qui tuent les bactĂ©ries qui essaient de coloniser le tube digestif. La pĂ©riode 0-2 ans est donc une pĂ©riode critique. AprĂšs, il n’est pas trop tard pour faire quelque chose, mais ça veut dire que le microbiote de base est dĂ©jĂ  un peu moins diversifiĂ©. La diversitĂ© est trĂšs importante. Plus tard, il faut partir de ce qu’on a et essayer de faire pousser ce qu’il y a de mieux pour notre microbiote. Consommer un probiotique en supplĂ©ment, est-ce une bonne idĂ©e ? Le hic avec les probiotiques, c’est qu’ils ne viennent pas s’implanter dans le microbiote. Ils ont un effet vraiment temporaire. Pendant qu’on les consomme, ils peuvent avoir une influence positive, mais ils ne s’implanteront pas. Les probiotiques doivent donc ĂȘtre consommĂ©s rĂ©guliĂšrement et Ă  long terme si une certaine souche est bĂ©nĂ©fique pour un individu. Aussi, l’effet d’un probiotique varie d’une personne Ă  l’autre, car on peut difficilement savoir quelle souche est bĂ©nĂ©fique pour chaque individu. C’est lĂ  la limite des probiotiques. Les prĂ©biotiques, par contre, ont plusieurs effets intĂ©ressants. Ils sont la nourriture des probiotiques. En arrivant dans l’intestin, ils stimulent les bactĂ©ries qui se nourrissent d’eux. Ils vont donc promouvoir un microbiote en santĂ©. C’est comme de l’engrais pour les bonnes bactĂ©ries. Par exemple, on retrouve l’inuline, qui est un prĂ©biotique, de façon naturelle dans certains aliments, comme la banane, l’artichaut, l’ail, le topinambour et l’oignon. De façon gĂ©nĂ©rale, une alimentation riche en fruits et lĂ©gumes est nĂ©cessairement riche en prĂ©biotiques. Des chercheurs de l’UniversitĂ© Laval ont dĂ©montrĂ©, par exemple, que la canneberge est riche en polyphĂ©nols, qui ont un effet prĂ©biotique sur les bactĂ©ries. Donc, faut-il vraiment prendre des supplĂ©ments de prĂ©biotiques ? Moi, je suis plutĂŽt pour une alimentation variĂ©e et de qualitĂ©. Si on a une alimentation riche en grains entiers, en fruits et en lĂ©gumes variĂ©s, on obtient nĂ©cessairement les prĂ©biotiques qui viennent avec ces aliments. Que pensez-vous du rĂ©gime anti-inflammatoire mis de l’avant par Jacqueline LagacĂ©, auteure de l’ouvrage Comment j’ai vaincu la douleur et l’inflammation chronique par l’alimentation? Avec son rĂ©gime hypotoxique, Jacqueline LagacĂ© a trĂšs bien expliquĂ© et documentĂ© les mĂ©canismes liĂ©s Ă  l’inflammation chronique. Il faut lui donner ce qui lui revient. LĂ  oĂč moi, j’ai une rĂ©serve, c’est que, premiĂšrement, ce n’est pas une panacĂ©e. D’ailleurs, le Conseil national de l’ordre des mĂ©decins a fait une mise en garde par rapport Ă  ce rĂ©gime, dont l’efficacitĂ© thĂ©rapeutique n’est pas reconnue par la communautĂ© scientifique. Ce rĂ©gime ne remplace en aucun cas les traitements mĂ©dicaux, contrairement Ă  ce qui Ă©tait parfois proposĂ©. Lorsqu’on analyse ce rĂ©gime, on constate que c’est une alimentation de type ancestral basĂ©e sur la diĂšte palĂ©o, qui Ă©limine plusieurs aliments, dont les produits laitiers, la majoritĂ© des cĂ©rĂ©ales et tous les aliments cuits Ă  haute tempĂ©rature, etc. Aussi, aucun aliment transformĂ© n’est permis, donc on Ă©limine par le fait mĂȘme les sucres et les gras raffinĂ©s. Beaucoup de patients ont des effets positifs avec ce rĂ©gime, on ne se le cachera pas. Toutefois, est-ce que c’est le fait d’avoir Ă©liminĂ© toutes traces de produits laitiers, toutes traces de blĂ© dans l’alimentation qui apporte des effets positifs, ou c’est simplement le fait d’avoir Ă©liminĂ© les aliments transformĂ©s ? Parce que la plupart des patients qui commencent ce genre de rĂ©gime Ă©liminent beaucoup de choses. Il est donc impossible de savoir quel changement a rĂ©ellement eu un effet favorable. À mon avis, ce rĂ©gime est beaucoup trop restrictif pour rien et le simple fait d’éliminer les aliments transformĂ©s joue probablement un rĂŽle majeur dans les effets positifs rapportĂ©s. Si quelqu’un veut tout de mĂȘme Ă©liminer les produits laitiers, je n’ai rien contre ça. À mon avis, les produits laitiers ne sont pas essentiels dans l’alimentation. Par contre, des nutriments dans ceux-ci le sont, comme le calcium, la vitamine D et la B12. Quelqu’un peut dĂ©cider de faire un test et Ă©liminer les produits laitiers de son alimentation, du moment qu’il compense par des substituts vĂ©gĂ©taux enrichis, entre autres pour Ă©viter un dĂ©ficit en vitamine D, car celle-ci a des propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires. En ce qui concerne l’alimentation sans gluten, elle peut avoir des effets nĂ©fastes sur le microbiote et elle n’est pas recommandĂ©e Ă  moins d’avoir une maladie cƓliaque. Une alimentation sans gluten, si on ne fait pas attention, sera dĂ©ficiente en fibres, car elle demande d’éliminer plusieurs grains entiers. Donc, Ă  l’exception de ceux qui mangent rĂ©guliĂšrement du teff ou du quinoa, qui sont des cĂ©rĂ©ales moins populaires, la plupart des gens qui mangent sans gluten consomment beaucoup de produits Ă  base de maĂŻs, de riz, et de pommes de terre, donc des produits qui ont trĂšs peu de fibres. Du point de vue du microbiote, une alimentation sans gluten n’a donc pas d’effets favorables. Et du point de vue de l’inflammation, rien n’a dĂ©montrĂ© que le gluten pouvait causer de l’inflammation chez des gens qui n’ont pas de prĂ©disposition gĂ©nĂ©tique ou une intolĂ©rance au gluten. Par ailleurs, aucune Ă©tude clinique n’a dĂ©montrĂ© les effets bĂ©nĂ©fiques propres Ă  la diĂšte hypotoxique. Quand on fait une revue de la littĂ©rature de toutes les maladies inflammatoires, ce sont les aliments transformĂ©s, les gras saturĂ©s et les aliments raffinĂ©s qui sont pointĂ©s du doigt. Cette diĂšte-lĂ , par la bande, enlĂšve tout ça. La seule façon de vĂ©rifier les effets de la diĂšte hypotoxique serait de comparer des gens qui Ă©liminent tous les aliments transformĂ©s, donc qui adoptent une diĂšte mĂ©diterranĂ©enne par exemple, avec des personnes qui suivent toutes les restrictions imposĂ©es par la diĂšte hypotoxique. PrĂ©sentement, aucune Ă©tude en ce sens n’a Ă©tĂ© faite. Aussi, ce qui me dĂ©plaĂźt avec ce genre de diĂšte, c’est que cela crĂ©e de l’anxiĂ©tĂ© liĂ©e Ă  l’alimentation. S’alimenter devient compliquĂ©, et il ne faut pas nĂ©gliger l’aspect psychologique reliĂ© au microbiote et aux maladies. De telles restrictions dĂ©naturent l’alimentation. Je ne pense pas que cette diĂšte procure des avantages supĂ©rieurs Ă  la diĂšte mĂ©diterranĂ©enne, qui elle a des effets bĂ©nĂ©fiques dĂ©montrĂ©s par une multitude d’études. Nous connaissons donc une diĂšte qui existe depuis plus de cent ans, avec des bĂ©nĂ©fices prouvĂ©s, mais l’humain est toujours Ă  la recherche de diĂštes miracles. Le rĂ©gime mĂ©diterranĂ©en, c’est cuisiner soi-mĂȘme des aliments frais, manger beaucoup de vĂ©gĂ©taux et du poisson au moins deux fois par semaine. Mais c’est aussi le plaisir de manger, de cuisiner, de partager les repas en famille ou avec des amis, et de bouger. C’est vraiment un mode de vie complet, qui a une incidence positive sur le stress, qui peut ĂȘtre un dĂ©clencheur d’inflammation chronique. De toute Ă©vidence, le stress a un effet fulgurant sur le microbiote. Cela pourrait faire l’objet d’un autre article ! Est-ce que certains aliments peuvent aggraver une pathologie inflammatoire ? C’est sĂ»r que dans l’exemple des maladies inflammatoires de l’intestin, ce sur quoi je travaille le plus, il y a deux choses l’inflammation chronique systĂ©mique et l’inflammation locale. Par exemple, un intestin en inflammation aiguĂ« locale pourrait mal rĂ©agir Ă  la consommation d’un aliment trĂšs riche en fibres, mais sans que l’aliment soit la cause de l’inflammation. Pour l’inflammation systĂ©mique, c’est trĂšs difficile de dire si un aliment Ă  lui seul peut augmenter l’inflammation. C’est la qualitĂ© globale de l’alimentation qui a un effet. Et en gĂ©nĂ©ral, l’inflammation est causĂ©e par plusieurs facteurs. À moins que quelqu’un se mette Ă  manger du fast-food pendant une semaine, ce qui pourrait accentuer la maladie inflammatoire, je ne pense pas qu’une telle aggravation puisse se faire en un seul repas, ou en consommant un aliment en particulier. C’est plutĂŽt un schĂ©ma alimentaire sur une certaine pĂ©riode qui influence le tout. Quelle est la principale limite de l’alimentation comme mĂ©decine ? Une limite fondamentale de l’alimentation comme mĂ©decine, c’est qu’on aimerait bien savoir prĂ©cisĂ©ment quel aliment manger, quel aliment ne pas manger pour telle maladie – ce qui n’est pas possible Ă  l’heure actuelle. En mĂ©decine, on fait beaucoup d’études cliniques et des mĂ©ta-analyses, et si plusieurs Ă©tudes et mĂ©ta-analyses disent la mĂȘme chose, on Ă©tablit des lignes directrices de pratique. En nutrition, c’est trĂšs difficile d’obtenir ça, en raison de ce que j’ai expliquĂ© plus tĂŽt. On n’a donc pas de mĂ©ta-analyse sur les aliments en particulier, mais on peut toutefois en avoir sur des modĂšles alimentaires, comme la diĂšte mĂ©diterranĂ©enne, la diĂšte nord-amĂ©ricaine ou la diĂšte vĂ©gĂ©tarienne. C’est pour ça que je m’intĂ©resse Ă  la diĂšte mĂ©diterranĂ©enne, puisqu’elle a Ă©tĂ© abondamment Ă©tudiĂ©e. Dans l’idĂ©e que les besoins nutritionnels sont propres Ă  chaque individu, de quelle façon la nutrition pourrait-elle faire partie des mesures proposĂ©es lors de la prise en charge d’un patient par un mĂ©decin ? En ce moment, la limite est que nous n’avons pas le portrait gĂ©nĂ©tique d’un patient donnĂ©. L’effet des aliments peut varier d’un individu Ă  l’autre selon les gĂšnes. Je pense que bientĂŽt, pour certaines maladies ou certains gĂšnes, on sera capable de faire des recommandations nutritionnelles personnalisĂ©es pour un patient donnĂ©. Les tests gĂ©nĂ©tiques en nutrigĂ©nomique commencent Ă  voir le jour et sont une avenue prometteuse pour le futur. Dans 15-20 ans, oui, on sera rendu lĂ . PrĂ©sentement, nous n’avons pas ça. Quand on voit un patient pour un problĂšme de santĂ©, on doit, la plupart du temps, se fier aux recommandations gĂ©nĂ©rales, et celles-ci ont des limites. Avec l’avancĂ©e de la science, on y arrivera Ă  un moment donnĂ©. Les mĂ©decins manquent de connaissances Ă  jour en nutrition, car c’est une science qui Ă©volue rapidement. C’est la raison pour laquelle ils dirigent souvent leurs patients vers des nutritionnistes, car leur champ d’expertise en nutrition est parfois limitĂ©. À quelle source le public peut-il se fier dans ce dossier ? On est Ă  une Ă©poque oĂč Internet regorge d’informations. C’est trĂšs difficile, mĂȘme pour un professionnel de la santĂ©, de s’y retrouver pour en extraire une information fiable. La meilleure source que je peux recommander, c’est que la personne atteinte d’une pathologie X, par exemple une arthrite inflammatoire, se rĂ©fĂšre Ă  un site officiel. Ces organismes ont toujours des professionnels de la santĂ© qui mettent les informations diffusĂ©es Ă  jour. L’information sur ces sites est donc fiable. Si ce n’est pas Ă©crit sur le site officiel, probablement que ce n’est pas une information vĂ©rifiĂ©e. Si cela ne fait pas partie des recommandations officielles, ce n’est sĂ»rement pas solide. Par exemple, je dirige toujours les gens qui ont une maladie cƓliaque vers la Fondation quĂ©bĂ©coise de la maladie cƓliaque. Au point de vue de la nutrition, si on veut consulter une nutritionniste spĂ©cialisĂ©e dans un domaine, on peut aller sur le site de l’OPDQ Ordre professionnel des diĂ©tĂ©tistes du QuĂ©bec. On peut y faire une recherche par pathologie et trouver une nutritionniste spĂ©cialisĂ©e dans ce domaine. — Marie-Paule Primeau, rĂ©dactrice en chef de la revue Dire, UniversitĂ© de MontrĂ©al Qui est Roxanne Papineau ? Roxanne Papineau, Dt. P., est nutritionniste clinicienne Ă  l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de QuĂ©bec depuis prĂšs de 15 ans. Elle est dĂ©tentrice d’un baccalaurĂ©at en nutrition et d’un diplĂŽme d’études supĂ©rieures spĂ©cialisĂ©es de deuxiĂšme cycle en alimentation fonctionnelle et santĂ© de l’UniversitĂ© Laval. Son expertise touche principalement la nĂ©phrologie et la gastroentĂ©rologie, et elle est passionnĂ©e par le microbiote. Elle est prĂ©sidente du Regroupement des nutritionnistes en nĂ©phrologie du QuĂ©bec. Elle transmet sa passion pour la nutrition aux futurs professionnels de la santĂ© en Ă©tant chargĂ©e de cours au baccalaurĂ©at en nutrition clinique et au doctorat en pharmacie Ă  l’UniversitĂ© Laval. Depuis le dĂ©but de sa carriĂšre, Roxanne a donnĂ© plus de 75 confĂ©rences en lien avec la nĂ©phrologie et la gastroentĂ©rologie Ă  des nutritionnistes, Ă  des mĂ©decins et Ă  d’autres professionnels de la santĂ©. Dansle cadre de cette approche, le PAM a dĂ©veloppĂ© dans 50 Ă©coles pilotes, des activitĂ©s de jardins scolaires pĂ©dagogiques en vue de diversifier le rĂ©gime alimentaire des Ă©coliers avec l’appui du MinistĂšre en charge de l’Agriculture. Les communautĂ©s, Ă  travers les parents d’élĂšves, contribuent Ă©galement Ă  la mise en place des potagers et champs scolaires.
Download Free PDFDownload Free PDFRevue D Ecologie La Terre Et La Vie, 1992Christian ErardThis PaperA short summary of this paper13 Full PDFs related to this paper
Dontle rĂ©gime alimentaire est constituĂ© de fruits. — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. Cliquez sur un mot pour dĂ©couvrir sa dĂ©finition. Solution. Longueur. frugivore. 9 lettres. Si vous pensez commencer un rĂ©gime, vous vous demandez sĂ»rement quels aliments ne font pas grossir ou ceux qui font le moins grossir. Il s'agit lĂ  d'une question qui revient Ă  chaque fois que l'on veut changer ses habitudes alimentaires, opter pour une vie plus saine et manger moins existe de nombreuses idĂ©es reçues sur l'alimentation, sur les aliments interdits ou autorisĂ©s. Dans cet article de toutComment, nous dissipons vos doutes en vous donnant une liste des aliments qui ne font pas grossir et que vous pourrez consommer en toute tranquillitĂ© dans le cadre de votre rĂ©gime. Index Fruits LĂ©gumes et plantes potagĂšres Viandes Poissons Menu faible en calories Fruits Avant toute chose, nous souhaitons Ă©claircir un point tous les aliments contiennent des calories qui sont indispensables Ă  notre organisme pour avoir de l'Ă©nergie et pour pouvoir enchaĂźner les journĂ©es. Par consĂ©quent, tous les aliments, au sens strict, font grossir. Toutefois, certains font moins grossir que d'autres et leurs calories sont destinĂ©es Ă  la consommation Ă©nergĂ©tique au lieu de rester stockĂ©es comme les graisses saturĂ©es. Ce sont justement ceux-lĂ  qui ne font pas grossir, mĂȘme s'il s'agit lĂ  d'une façon de parler car, comme nous l'avons dĂ©jĂ  mentionnĂ©, tous les aliments sont constituĂ©s de fruits sont des aliments qui servent Ă  satisfaire notre corps de son besoin en sucre, apportant trĂšs peu de calories et de grandes quantitĂ©s d'eau qui favorisent la purge de l'organisme et l'Ă©limination des toxines. Cependant, tous les fruits ne doivent pas faire partie de notre rĂ©gime. C'est pourquoi, ci-dessous, nous vous expliquons en dĂ©tails les fruits qui ne font pas grossir PastĂšque pour chaque portion de 100 grammes de pastĂšque consommĂ©e, seules 15 kcal sont absorbĂ©es par l'organisme. Ce fruit fait donc partie des aliments les plus recommandĂ©s lorsque l'on souhaite perdre du poids. Elle est constituĂ©e essentiellement d'eau, ce qui en fait un aliment parfait pour se rafraĂźchir en Ă©tĂ© et pour Ă©liminer les La plupart des rĂ©gimes comprennent du pamplemousse ou du jus de pamplemousse servant Ă  dĂ©sintoxiquer l'organisme. Ce fruit est Ă©galement connu pour faire peu grossir seulement 26 kcal pour 100 grammes. De plus, il contient des nutriments importants comme des fibres, du calcium, de la vitamine C, du magnĂ©sium et du lĂ  aussi il s'agit d'un fruit qui fait peu grossir, 100 grammes de fraises ne contenant que 27 Pour finir, les pĂȘches font Ă©galement partie des aliments qui font peu grossir 100 grammes de pĂȘches ne contiennent que 30 kcal. Il s'agit d'un fruit constituĂ© en grande partie d'eau. Il est donc parfait pour aider Ă  Ă©liminer les liquides. Il possĂšde aussi Ă©normĂ©ment de fibres, qui vous donneront rapidement un sentiment de l'article suivant de toutComment, nous vous donnons davantage de dĂ©tails sur les fruits qui font le moins grossir. LĂ©gumes et plantes potagĂšres Les lĂ©gumes et plantes potagĂšres sont Ă©galement connus pour ĂȘtre des aliments qui ne font pas grossir et qui en plus sont trĂšs nutritifs, apportant minĂ©raux et vitamines, trĂšs bons pour l'organisme. À cela s'ajoute leur faible apport calorique et le peu de graisses qu'ils contiennent. Ils sont donc d'excellents choix pour mincir sans avoir faim. Ils possĂšdent Ă©galement un grand pouvoir de satiĂ©tĂ© car ils sont composĂ©s de fibres et apportent de l'Ă©nergie pour une vie saine et les lĂ©gumes qui font le moins grossir, on trouve Brocoli pour chaque tasse de brocolis consommĂ©e, seules 30 kcal sont ingĂ©rĂ©es. Par ailleurs, comme il contient de nombreuses fibres, il donne une sensation de satiĂ©tĂ© ce qui calme la faim souvent ressentie lors d'un ce lĂ©gume est principalement constituĂ© d'eau. Il est donc parfait pour aider Ă  Ă©liminer les toxines et Ă  purger votre organisme. Il est Ă©galement constituĂ© de fibres, pour se sentir rapidement grĂące Ă  son puissant effet diurĂ©tique, il s'agit lĂ  encore d'un aliment qui fait peu grossir. Il apporte de nombreuses vitamines indispensables Ă  notre organisme sans que nous puissions remarquer les calories il possĂšde lui aussi peu de calories et est un bon diurĂ©tique. Par ailleurs, il offre de puissants antioxydants qui facilitent l'entretien de notre et bettes ils contiennent de nombreuses fibres et peu de calories, ce qui en fait d'excellents alliĂ©s pour perdre du poids sans pour autant arrĂȘter de manger de bons repas. Viandes Au sein du groupe alimentaire des viandes, il convient de souligner que les viandes qui font le moins grossir sont les viandes maigres. Il s'agit d'aliments qui contiennent peu de glucides et sont une source principale de protĂ©ines savoir si une viande est maigre, il suffit de connaĂźtre la quantitĂ© de graisse qu'elle contient. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, 100 grammes de ce type de viandes contiennent moins de 10 % de matiĂšres ces viandes maigres, il faut souligner celles qui sont le moins caloriques Poulet sans peau les parties qui contiennent le moins de gras sont le blanc et les cuisses. Ainsi, prĂ©fĂ©rez-les aux autres parties du poulet si vous souhaitez perdre du poids. Les morceaux de poulet doivent ĂȘtre consommĂ©s sans peau car elle contient un grand nombre d'hormones et de gras dont votre corps n'a pas il s'agit d'une autre viande contenant du gras et du cholestĂ©rol. Comme pour le poulet, les meilleures parties de la dinde sont le blanc et les cuisses car elles sont moins caloriques que les cet animal contient Ă©normĂ©ment de fibres et trĂšs peu de graisses. Il fait donc partie des viandes qui font le moins grossir et qui sont le mieux adaptĂ©es Ă  un rĂ©gime hypocalorique. Poissons Le poisson est Ă©galement une bonne solution pour un rĂ©gime sain et faible en calories. Toutefois, tous les poissons n'entrent pas dans cette catĂ©gorie. Les poissons blancs sont des poissons qui font peu grossir puisqu'ils ne contiennent que des glucides, sans graisses. De plus, ils sont capables de calmer l'appĂ©tit. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, les poissons blancs ne contiennent que 3 % de matiĂšres grasses pour 100 grammes. Ils sont donc l'aliment idĂ©al pour perdre du il contient beaucoup de vitamine B et trĂšs peu de calories. Vous pouvez donc l'ajouter Ă  votre rĂ©gime sans pour autant avoir peur de dans notre liste d'aliments qui ne font pas grossir, il est essentiel de mentionner la morue, l'un des aliments les plus consommĂ©es dans le sud de l'Europe. Il contient de nombreuses vitamines et des omĂ©ga 3, ce qui en fait un aliment indispensable pour un coeur et un corps en bonne il s'agit d'un poisson riche en vitamine B et E, sans pour autant ĂȘtre calorique, et c'est pourquoi il est parfait pour un menu sain. Il s'agit Ă©galement d'un poisson avec peu d'arrĂȘtes ; il peut donc se cuisiner c'est lĂ  un autre choix trĂšs sain car ce poisson est riche en vitamine B et pauvre en calories. La maniĂšre la plus saine de la cuisiner est de la faire cuire au four ou Ă  la vapeur. Cela vous permettra de rĂ©duire au maximum les calories les poissons blancs, les fruits de mer ou les crustacĂ©s font partie des aliments qui font le moins grossir. Il s'agit d'un choix sain car ils ne contiennent que peu de graisses et leur apport en glucides est infime. Le problĂšme avec les fruits de mer est que, comme il s'agit d'aliments contenant beaucoup d'eau, l'effet de satiĂ©tĂ© est quasiment inexistant. Vous devrez donc en manger beaucoup pour vous sentir rassasiĂ©. Menu faible en calories Maintenant que vous connaissez quels sont les meilleurs aliments Ă  consommer lors d'un rĂ©gime et vu que ceux que nous venons de dĂ©tailler possĂšdent de nombreux nutriments, un fort pouvoir de satiĂ©tĂ© et peu de calories, ils sont donc parfaits pour ĂȘtre ajoutĂ©s Ă  votre il est important que vous preniez en compte certains Ă©lĂ©ments lorsque vous prĂ©parez un menu sain Pour arriver Ă  accĂ©lĂ©rer le mĂ©tabolisme, il faut prendre 5 repas par est recommandĂ© de constituer ses en-cas Ă  base de fruits ou de yaourts Ă©crĂ©mĂ©s afin de se sentir rassasiĂ©e tout en ingĂ©rant peu de vous mangez des glucides, prĂ©fĂ©rez celles Ă  base de farine complĂšte. De cette maniĂšre, vous augmenterez votre consommation de fibres et rĂ©duirez la quantitĂ© de sucre ingĂ©rĂ©e. Le meilleur moment pour manger ce type d'aliments est le matin. L'aprĂšs-midi, il est dĂ©conseillĂ© de manger des pour des dĂźners lĂ©gersqui soient constituĂ©s principalement de lĂ©gumes et/ou de protĂ©ines. Le soir, il n'est PAS recommandĂ© de manger des fruits car ils contiennent beaucoup de sucre qui, s'il n'est pas brĂ»lĂ©, se transforme en l'article suivant de toutComment, nous vous donnons davantage de conseils pour savoir comment prĂ©parer un menu sain. Cet article est purement informatif, toutCOMMENT n'a pas les capacitĂ©s de prescrire de traitement mĂ©dical ni rĂ©aliser de diagnostics. Nous vous invitons Ă  vous rendre chez le mĂ©decin si vous prĂ©sentez des gĂšnes ou un mal-ĂȘtre. Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables Ă  Liste des aliments qui ne font pas grossir, nous vous recommandons de consulter la catĂ©gorie Vie Saine.
\n dont le régime alimentaire est constitué de fruits
Leplan du RĂ©gime Thonon. Le rĂ©gime alimentaire de 14 jours est basĂ© sur les menus quotidiens suivants: Jour 1. Matin : cafĂ© ou thĂ© sans sucre. Midi : 2 Ɠufs durs, Ă©pinards sans sel Ă  volontĂ©. Soir : un grand steak grillĂ©, salade verte et cĂ©leri Ă  volontĂ©. Jour 2. Matin :
Le rĂ©gime alcalin, c’est quoi ? Alors que le rĂ©gime alcalin gagne de plus en plus d’adeptes, nombreux commencent Ă  s’intĂ©resser aux principes de ce mode d’alimentation dont on ne cesse de vanter les bienfaits. Loin d’ĂȘtre une tendance rĂ©cemment créée, le rĂ©gime alcalin existe depuis longtemps et se focalise sur le rééquilibrage acido-basique de l’organisme humain. En effet, il faut savoir que le bon fonctionnement de notre corps requiert un maintien de l’équilibre acido-basique de nos cellules. Or, le mode de vie occidental, stressant et rythmĂ©, accompagnĂ© de manque de sommeil et d’une mauvaise alimentation, tend Ă  chambouler cet Ă©quilibre vital en acidifiant notre organisme. Cet excĂšs d’aciditĂ© engendre davantage de fatigue, de stress et d’insomnies. C’est lĂ  qu’intervient le rĂ©gime alcalin qui s’évertue Ă  corriger ce problĂšme en chargeant notre alimentation de produits basifiants. Quels sont les bienfaits d’un rĂ©gime alcalin ? Adopter un rĂ©gime alimentaire alcalin, c’est donc viser le bon Ă©quilibre acido-basique de l’organisme. Mais dans quel intĂ©rĂȘt ? Cet Ă©quilibre prĂ©serve notre organisme et lui permet de rĂ©guler la grande majoritĂ© des fonctions mĂ©taboliques. Un trop grand dĂ©sĂ©quilibre va entraĂźner une sĂ©rie de malaises, dont des insomnies, des maux de tĂȘte ou encore des troubles digestifs. En plus de mettre fin Ă  tous ces petits problĂšmes de santĂ©, le rĂ©gime alcalin vous garantit une alimentation saine et Ă©quilibrĂ©e. Comme ce mode alimentaire prĂ©conise, entre autres, une consommation plus importante de lĂ©gumes au dĂ©triment des produits raffinĂ©s et transformĂ©s, l’adopter va aussi favoriser la perte de poids. Etablir le menu quels sont les aliments alcalinisants ? Comme dans tout mode d’alimentation, le rĂ©gime alcalin doit suivre des rĂšgles de consommation bien prĂ©cises, sans toutefois Ă©vincer de votre assiette les aliments considĂ©rĂ©s basifiants. Le marchĂ© regorge d’aliments alcalinisants pour rééquilibrer le pH de l’organisme. Pour que le rĂ©gime alcalin fasse son effet, l’idĂ©al serait de constituer votre menu de maniĂšre Ă  avoir plus d’aliments alcalinisants qu’acidifiants. PrivilĂ©giez pour ce faire la consommation De lĂ©gumes tels que les pommes de terre, les haricots verts, les brocolis, les betteraves, les Ă©pinards et tous les autres lĂ©gumes verts ; D’olĂ©agineux amandes, chĂątaignes, olives ; De fruits bananes, fraises, figues, framboises ; D’épices et de plantes aromatiques. Dans l’ensemble, favoriser la consommation de lĂ©gumes et de fruits au quotidien est l’une des bases du rĂ©gime alcalin. ParallĂšlement, pensez Ă  rĂ©duire votre consommation de sucres raffinĂ©s, d’aliments transformĂ©s, de produits cĂ©rĂ©aliers et laitiers. Attention ! RĂ©duire ne signifie pas s’en priver. En effet, les aliments acidifiants jouent aussi leur rĂŽle dans l’équilibre acido-basique de l’organisme. A lire aussi RĂ©gime Natman peut-on vraiment perdre 4 kg en 4 jours ? RĂ©gime Abura comment fonctionne ce rĂ©gime de star ? Perdre du poids ces 20 aliments du rĂ©gime SirtFood ont aidĂ© AdĂšle Ă  perdre 45 kilos
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dont le régime alimentaire est constitué de fruits