ï»żDurĂȘve au cauchemar Le 4 avril, Martin Luther King est assassinĂ© Ă  Memphis. Dans une AmĂ©rique qui le dĂ©cevait : guerre du Vietnam, Black Panthers, pauvretĂ© et
Mon propos est de montrer que la vie des populations depuis l’irruption de ce nouveau coronavirus début 2020 s’inscrit dans la logique que révèle un internaute accusant le gouvernement congolais de Brazzaville de tuer les restaurateurs, les patrons de bar et de boites de nuit », logique selon laquelle la covid mènerait une guerre d’extermination passant par la suppression des lieux d’alimentation, de plaisir et de jouissance en échange de l’argent. Plus précisément, je voudrais soutenir l’hypothèse selon laquelle les gouvernements et les populations vivent depuis bientôt un an dans le rêve d’un cauchemar, et que ce dernier est le coronavirus, l’ ennemi invisible ». La question qui se pose est alors la suivante comment un cauchemar peut-il rêver et comment ce rêve peut-il être le lieu de vie des populations mais aussi, le lieu des projets de réalisation d’une dystopie ? Le rêve du coronavirus, ennemi invisible» Avec l’expérience du confinement, une immense partie de la population mondiale vient de vivre dans le rêve d’un cauchemar le coronavirus. Le confinement » – le lieu de la vie confinée – s’est imposé à toutes comme dystopie, comme lieu du malheur tant il soustrait les confinées aux habitudes dont s’était tissée la trame de leur vie d’ avant » l’habitude de se coucher, de dormir, rêver, se lever, se laver, déjeuner si possible, aller au travail pour ceux et celles qui en ont ou en avaient, aller chercher du travail ou les moyens de vivre pour ceux et celles qui n’en avaient pas. Pour toutes, la vie à la maison avait sa condition dans la vie de dehors » durant la journée, mais aussi, pour l’importante population des travailleurses de nuit, dans cet espace-temps du repos, du sommeil et des rêves. Toutes, cependant, avaient avant » l’événement besoin de se retrouver à un moment donné dans un rythme régulier ou pas, entre amies, entre connaissances, entre relations, et de faire de nouvelles connaissances. Sur les réseaux sociaux, un internaute tient ces propos à un ministre porte-parole du gouvernement congolais de Brazzaville Au lieu de tirer les leçons d’un fiasco, vous avez mis en place un couvre-feu qui ne tue pas la covid mais les restaurateurs, patrons de bars et de boites de nuit. » L’accusation institue le couvre-feu comme un sujet qui pense, qui rêve et qui agit intentionnellement contre les entrepreneures économiques dans les secteurs de l’alimentation, des plaisirs et de la jouissance. Ce que l’accusateur dit sans le dire, c’est ainsi deux choses la première, que le gouvernement est aux ordres de la covid la deuxième, que la covid, qui fait agir le gouvernement et son bras armé – le couvre-feu – a pour objectif de tuer ceux et celles qui travaillent sur les lieux où sont offerts, contre argent, la nourriture, le plaisir et la jouissance. Ces lieux de vie, source de promesses, d’espoirs et d’espérances dans la vie quotidienne, se sont brutalement estompés et ont basculé, du fait des couvre-feu, dans le souvenir et la nostalgie. La rupture a été brusque, faisant du présent un temps désorienté, et de la vie un lieu d’interrogations révoltées. Pour beaucoup, l’urgence a redoublé d’intensité jusqu’à devenir tyrannique, tandis que le passé immédiat s’est précipité dans un futur lointain et inaccessible. Le rêve, qu’il soit rêverie ou phantasme, a innervé les lieux du confinement. Le cauchemar, autre nom de la dystopie, s’est ainsi invité comme lieu de vie au présent qui avait pour nom coronavirus. Dans l’ancien État indépendant du Congo, propriété personnelle du roi Léopold II, devenu ensuite la colonie belge puis le Zaïre, puis l’actuelle République démocratique du Congo, des musiciennes kinoises, dont l’intense et dynamique créativité est partout reconnue – Koffi Olomidé et d’autres artistes moins connues –, se sont mis à chanter et à danser le coronavirus. Rêve colonial Pour les Africaines, toutes descendantes de la situation coloniale, l’événement que constitue l’épidémie avec sa dimension catastrophique s’inscrit dans une histoire des lieux de vie de nuit et de jour, dans la forêt, dans les lacs, au bord des fleuves, lieux où l’insupportable présent colonial fomentait la révolte qui le niait dans l’imaginaire, dans le symbolique, dans la politique ou dans les rêveriesn. Dans les deux Congos, ces lieux sont les ngandas et bars urbains. En Afrique de l’Ouest ce sont ces lieux de la transe et de la transgression des interdits immortalisés par Jean Rouch dans Les maîtres fous, où des travailleurs venus du Niger au Ghana, ancienne Gold Coast, se sont transformés en soldats et officiers de l’armée coloniale ou en locomotives humanisées, vivant ainsi dans le rêve du colonisateur. Au Gabon et au Congo, c’est la figure charismatique – donc magique – de De Gaulle qui créa des lieux de vie dans le rêve du colonisateur la danse Ngol – déformation du mot Gaulle – se danse encore dans certaines cérémonies de deuil au Gabon, et le matswanisme, un mouvement politico-religieux étudié par Balandiern, fut saturé de symboles gaullistes, dont le masque Gaulle. Aujourd’hui, partout des contestations du masque transfiguré d’une autre réalité charismatique, le coronavirus, sont dirigées contre la dictature des États dits démocratiques, et partout circulent sur les réseaux sociaux des rumeurs sur les projets diaboliques de numérisation de la population mondiale par la vaccination dont l’instigateur serait Bill Gates. Il serait ainsi l’incarnation du Big Brother orwellien et marquerait la fin de la séparation entre espace public et espace privé puisque les corps individuels seraient, de l’intérieur même, le lieu de vie du fascinant et terrifiant État. L’imagination humaine, quelle que soit la latitude où elle s’exerce, s’exprime partout dans une langue universelle qui fait des pandémies et de leurs agents des sujets dotés d’intentionnalité, comme l’atteste l’idée selon laquelle le virus est un ennemi invisible » . Or un ennemi élabore des stratégies, met sur pied des tactiques et a pour objectif de vaincre et de soumettre une population. Les guerres coloniales en Afrique condamnèrent les vaincues au travail forcé » l’esclavage condamna les individus capturés à vivre ailleurs chez eux leur lieu habituel de vie leur devint brusquement étranger, leur corps ne leur appartint plus puisqu’il pouvait être vendu, au même titre que leur progéniture. Le rêve de tout ennemi en guerre est donc de faire vivre l’autre ailleurs chez lui – ailleurs dans son corps, ailleurs dans sa famille, ailleurs dans son village ou dans sa ville, ailleurs dans son pays. En vivant ainsi dans le rêve de l’ennemi, et notamment de l’ennemi invisible, on vit dans le cauchemar on vit un cauchemar né du rêve d’un être imaginaire. Avec le coronavirus, la vie des habitantes de la terre s’est transformée en entrant dans le rêve d’une figure de l’imaginaire l’ennemi invisible ». Cette vie dans le rêve de l’ennemi invisible a été la vie dans un cauchemar. Vivre dans le rêve du capital Mais dire que les métaphores employées dans le langage pour le virus et la pandémie leur attribuent une subjectivité, et que de ce fait leur rêve est un rêve métaphorique ou analogique, ne suffit pas pour affirmer que tout ceci est symbolique et que la réalité ne correspond pas à cela. C’est bien le contraire qui est vrai la réalité que les gens ont vécue et vivent encore est celle de leur vie qui a eu pour lieu le rêve d’un virus sans subjectivité, sans intentionnalité. De même que dans la société capitaliste, c’est précisément une abstraction », sans intentionnalité mais qui pense, rêve et agit, dont le rêve est le lieu de vie des riches comme des pauvres, des capitalistes comme des prolétaires.
LePublishers Weekly le classe Ă  la septiĂšme place des meilleures ventes de romans aux États-Unis en 1990 [10]. En 2008, plus de 4,5 millions d'exemplaires du roman avaient Ă©tĂ© vendus uniquement aux États-Unis [11]. Le FlĂ©au est gĂ©nĂ©ralement, avec Ça, l'un des deux romans les plus apprĂ©ciĂ©s et les plus reconnus de Stephen King [12 Culte de la compĂ©tition, inĂ©galitĂ©s de revenus, course Ă  l’argent la possibilitĂ© de programmer» son bĂ©bĂ© pose, aux États-Unis, des dilemmes plus aigus qu’ BĂ©bĂ©s sur mesure c’est pour demain Auteur Lee M. Silver, professeur de biologie Ă  l’UniversitĂ© de Princeton États-Unis et Ă  la Woodrow Wilson School of Public and International Affairs. Auteur de Remaking Eden Cloning and Beyond in a Brave New World, Avon Books, New York, États-Unis, 1er juin 2010Barbara allaite Max, son bĂ©bĂ©. Mon mari et moi l’avons choisi Ă  partir des embryons que nous avons conçus, confie-t-elle Ă  une amie. Nous nous sommes assurĂ©s que Max ne devienne pas obĂšse comme mon frĂšre Tom, ni alcoolique comme la sƓur de mon mari.»Seattle, 15 mars 2050A la maternitĂ©, Melissa va accoucher. Pour tenter d’oublier les contractions, elle regarde les images de synthĂšse d’une fillette de cinq ans, aux cheveux blonds et aux yeux verts, qui devient ensuite adolescente. C’est elle que Melissa est sur le point de mettre au monde. Ses gĂšnes lui garantissent une protection Ă  vie contre le virus du sida. Washington DC, 15 mai 2350Les AmĂ©ricains sont divisĂ©s en deux classes les GĂšnes riches», dont les familles ont beaucoup investi dans la conception gĂ©nĂ©tique de leur progĂ©niture, et les Naturels», dont les familles n’en ont pas eu les moyens. Les GĂšnes riches» reprĂ©sentent 10% de la population et dominent les couches supĂ©rieures de la sociĂ©tĂ©, tandis que les Naturels» gagnent difficilement leur vie dans le secteur des parents des GĂšnes riches» font pression sur leurs enfants pour qu’ils ne dilapident pas leur capital gĂ©nĂ©tique, acquis au prix fort, en Ă©pousant des Naturels».Ces scĂ©narios ne sont pas de la science-fiction pour Hollywood. Ils s’appuient sur les connaissances actuelles. Depuis les annĂ©es 80, les manipulations gĂ©nĂ©tiques se pratiquent avec succĂšs sur des souris, des vaches, des moutons et des porcs. Si elles ne concernent pas encore les ĂȘtres humains, c’est que l’adjonction de gĂšnes dans les cellules de l’embryon humain ne rĂ©ussit au mieux que dans 50% des cas. Quant Ă  l’opĂ©ration encore plus complexe qui consiste Ă  modifier des gĂšnes pour soigner une dĂ©ficience, les chances de rĂ©ussite sont environ d’une sur un le clonage change cette donne. On peut dĂ©sormais prĂ©lever une cellule sur un ovule fĂ©condĂ© et la cloner Ă  des millions d’exemplaires. Ceux-ci pourraient ensuite ĂȘtre manipulĂ©s en leur injectant, par exemple, un ADN Ă©tranger au moyen d’une aiguille microscopique. GrĂące Ă  la technique de Wilmut», on peut prĂ©lever le noyau d’une cellule pour l’insĂ©rer dans un ovule, qu’on implante ensuite dans l’utĂ©rus de la ne s’agit lĂ  que de l’une des nombreuses approches actuellement Ă©tudiĂ©es dans les laboratoires. Qu’elle fasse appel Ă  une ou Ă  plusieurs mĂ©thodes combinĂ©es, la manipulation gĂ©nĂ©tique d’embryons humains sera sĂ»re et efficace d’ici le milieu du 21e siĂšcle. Nous aborderons alors l’ultime frontiĂšre de la mĂ©decine et de la philosophie le pouvoir de changer la nature de l’espĂšce manipulations gĂ©nĂ©tiques commenceront de maniĂšre tout Ă  fait acceptable, avec le traitement de maladies graves, comme la mucoviscidose. Ensuite, dans une premiĂšre phase, les parents donneront sans doute Ă  leurs enfants des gĂšnes que d’autres individus possĂšdent naturellement. Ils feront insĂ©rer dans l’embryon, par exemple, des gĂšnes assurant une rĂ©sistance Ă  certaines formes de cancer ou d’infection par le VIH prĂšs d’1% de la population masculine amĂ©ricaine possĂšde un tel gĂšne l’immunisant contre le sida. Ils pourront aussi Ă©liminer toute prĂ©disposition Ă  l’obĂ©sitĂ©, Ă  l’alcoolisme ou Ă  des maladies comme le gĂ©nĂ©ticiens se pencheront ensuite sur le cerveau et les sens. Les mĂ©decins remplaceront ou modifieront les gĂšnes liĂ©s aux maladies mentales et au comportement antisocial, comme l’agressivitĂ© extrĂȘme. GrĂące aux progrĂšs de la technologie, les parents auront la possibilitĂ© d’augmenter le potentiel artistique de leurs rejetons en amĂ©liorant, par exemple, leur acuitĂ© visuelle ou auditive. Une meilleure comprĂ©hension du fonctionnement du cerveau permettra de dĂ©velopper leurs facultĂ©s cognitives en renforçant, par exemple, le gĂšne chargĂ© de convertir la mĂ©moire Ă  court terme en mĂ©moire Ă  long terme. Cette manipulation est actuellement pratiquĂ©e sur les une deuxiĂšme phase, les manipulations viseront l’introduction de gĂšnes Ă©trangers au gĂ©nome humain. Par le transfert de gĂšnes de chauves-souris, l’ĂȘtre humain pourra, par exemple, dĂ©crypter des ondes radio ou voir la il faudra beaucoup de temps avant d’en arriver lĂ , en raison des complexitĂ©s et des risques de ces manipulations. On ne peut pas modifier le gĂ©nome humain sans avoir la certitude de ne causer aucun maniĂšre ou d’une autre, le nombre et la diversitĂ© des interventions gĂ©nĂ©tiques va croĂźtre de maniĂšre exponentielle, un peu Ă  la maniĂšre des adjonctions aux systĂšmes d’exploitation des ordinateurs effectuĂ©es dans les annĂ©es 80 et 90. Les perspectives, qui Ă©taient auparavant inimaginables, deviendront indispensables
 pour les parents qui en auront les Les dangers du laisser-faireAuteure Amy Otchet, journaliste au Courrier de l’UNESCO.GrĂące Ă  QualGene, vous pouvez avoir l’embryon le plus parfait du marchĂ©! Ne vous en remettez pas au hasard pour vos chers enfants!» Ce type de slogan publicitaire ne va pas tarder Ă  apparaĂźtre aux États-Unis, affirme le Dr Jeffrey Botkin, gĂ©nĂ©ticien spĂ©cialisĂ© en pĂ©diatrie et en bioĂ©thique. Les AmĂ©ricains sont prĂȘts Ă  faire l’impossible pour aider leurs enfants Ă  rĂ©ussir. Pourquoi ne pas leur donner un coup de pouce dĂ©cisif en sĂ©lectionnant le meilleur» dans un lot d’ovules fĂ©condĂ©s, ou en perfectionnant gĂ©nĂ©tiquement l’enfant Ă  naĂźtre?Bienvenue dans l’univers de l’eugĂ©nisme du laisser-faire!», lance Arthur Caplan, l’une des voix les plus Ă©coutĂ©es en bioĂ©thique. Pour ce professeur de l’UniversitĂ© de Pennsylvanie, la perspective est la libertĂ© de choisir le profil de ses enfants, Ă©tant bien entendu qu’on n’a le droit ni de les tuer, ni de leur faire du mal, ni de les changer en pire. S’il n’y a aucun risque, on ne voit pas en quoi il serait critiquable d’essayer d’amĂ©liorer biologiquement son enfant».Pas d’accord, rĂ©torque le philosophe Philip Kitcher de l’UniversitĂ© Columbia, inventeur de l’expression eugĂ©nisme du laisser-faire». La course Ă  l’argent va maintenant concerner l’utĂ©rus. J’espĂ©rais mieux! Je vois bien aujourd’hui oĂč est la racine du problĂšme. Elle est au cƓur de la sociĂ©tĂ© capitaliste la pression pour ĂȘtre compĂ©titif. Les parents qui en ont les moyens vont se sentir obligĂ©s de donner Ă  leurs enfants “l’étoffe gĂ©nĂ©tique qu’il faut”.»Les gĂ©nĂ©ticiens mettront au point de nouvelles techniques pour examiner les embryons et peut-ĂȘtre un jour les amĂ©liorer et les parents seront dĂ©chirĂ©s entre leur dĂ©sir d’agir au mieux pour leur enfant et leur vision des prĂ©jugĂ©s et des inĂ©galitĂ©s qui les entourent», prĂ©voit Philip Kitcher. Imaginons un couple en train de choisir dans un lot d’Ɠufs fĂ©condĂ©s in vitro et supposons que les chercheurs aient dĂ©couvert des gĂšnes liĂ©s Ă  une inclination pour l’homosexualitĂ©. On peut ĂȘtre sĂ»r que certains parents diront alors “Nous sommes sans prĂ©jugĂ© mais, pour une lesbienne, c’est trop dur de vivre dans notre sociĂ©tĂ©â€.» Les tests gĂ©nĂ©tiques serviront Ă  Ă©liminer les indĂ©sirables», selon Kitcher, exactement comme l’amniocentĂšse sert aujourd’hui en Chine et en Inde Ă  sĂ©lectionner le sexe de ses enfants. Cet eugĂ©nisme du laisser-faire s’insinuera sournoisement, parce qu’on va de plus en plus recourir Ă  la gĂ©nĂ©tique pour s’épargner des problĂšmes sociaux, sans les rĂ©soudre. La couleur de la peau risque d’ĂȘtre perçue comme un handicap social un couple afro-amĂ©ricain pourra chercher Ă  avoir un bĂ©bĂ© blanc. Les mĂ©decins refuseront peut-ĂȘtre, mais la question du rĂŽle de l’État est posĂ©e doit-il ou non rĂ©glementer la sĂ©lection des embryons et demain, leur Ă©ventuel perfectionnement»?Le sacro-saint choix individuelUne rĂ©glementation par la loi est peu probable et, Ă  mon sens, peu souhaitable», estime Arthur Caplan aux États-Unis, on considĂšre que la meilleure rĂ©ponse aux problĂšmes de la conception et de la procrĂ©ation est le choix laissĂ© aux individus».C’est en vertu de ce principe que l’avortement est restĂ© lĂ©gal. Si l’État se mĂȘlait de dĂ©terminer dans quelles conditions les enfants doivent naĂźtre, les mouvements anti-avortement pourraient trouver moyen de revenir sur le droit des femmes Ă  maĂźtriser leur fertilitĂ©. De plus, poursuit Arthur Caplan, comment l’État pourrait-il limiter les aptitudes que les parents peuvent offrir Ă  leurs enfants, alors qu’ils ont pratiquement carte blanche en matiĂšre de religion et d’éducation notamment? AmĂ©liorer gĂ©nĂ©tiquement un embryon, observe-t-il, n’est pas programmer» un enfant. Une Ă©ducation religieuse stricte pourrait constituer pour un bambin un moule autrement plus contraignant que le renforcement de ses aptitudes sportives, par exemple. Si on lui donne meilleure mĂ©moire, oĂč est le mal?Pour Philip Kitcher, ce sont les effets cumulĂ©s des dĂ©cisions individuelles qui posent problĂšme. Si les parents choisissent tous certains traits et non d’autres, nous aurons une sociĂ©tĂ© plus homogĂšne. Non que nous risquions d’aboutir Ă  une nation hollywoodienne de chĂ©rubins blonds, joufflus, aux yeux bleus. Philip Kitcher craint plutĂŽt de voir le choix des traits rĂ©duire le respect de la diffĂ©rence, renforcer le racisme et creuser l’abĂźme entre ceux qui ont et ceux qui n’ont pas les moyens de s’offrir des services gĂ©nĂ©tiques dernier sera moralement regrettable, admet Arthur Caplan, mais on n’y Ă©chappera pas». Limiter la libertĂ© individuelle au nom du bien commun ne serait pas conforme Ă  l’American way. Nous comptons sur la sagesse des choix individuels pour obtenir le mieux, et non sur une idĂ©e consensuelle du bien collectif.»On pourrait nĂ©anmoins trouver un terrain oĂč lĂ©gifĂ©rer, estime Lori Andrews, directeur de l’Institut des sciences, du droit et de la technologie de Chicago. Si les garde-fous constitutionnels interdisent toute ingĂ©rence de l’État dans la dĂ©cision d’un couple d’avoir ou non un bĂ©bĂ©, ils ne garantissent pas audit couple la libertĂ© absolue de dĂ©cider quel genre de bĂ©bĂ© il aura et dans quelles conflit grave qui oppose les organisations anti-avortement et la communautĂ© scientifique Ă  propos de la recherche sur les embryons constitue un obstacle majeur Ă  toute rĂ©glementation. Selon Lori Andrews, l’extrĂ©misme des deux parties a menĂ© Ă  un vide lĂ©gislatif, ce qui laisse le secteur privĂ© libre de poursuivre la recherche hors de tout contrĂŽle des instances fĂ©dĂ©rales. Aujourd’hui, c’est la Food and Drug Administration qui est censĂ©e dĂ©cider quels tests ou traitements gĂ©nĂ©tiques pourront ĂȘtre proposĂ©s aux consommateurs. Mais ses dĂ©cisions, souligne Lori Andrews, sont fondĂ©es sur la sĂ©curitĂ© et l’efficacitĂ© l’éthique et le dĂ©bat public ne sont pas pris en vide lĂ©gislatif laisse de trĂšs grosses responsabilitĂ©s Ă  la communautĂ© mĂ©dicale. Des profits considĂ©rables sont en vue dans le domaine Ă©mergent des services gĂ©nĂ©tiques Ă  la procrĂ©ation. Des campagnes publicitaires vont convaincre les parents que leurs futurs rejetons mĂ©ritent ce qui se fait de mieux» en matiĂšre de diagnostics prĂ©nataux et d’amĂ©lioration gĂ©nĂ©tique. Face Ă  cette pression, les parents auront besoin de points de repĂšre mĂ©dicaux et Ă©thiques pour Ă©valuer les produits».DĂ©bat de sociĂ©tĂ©La profession mĂ©dicale n’a guĂšre fait plus que dĂ©finir les problĂšmes», estime le Dr Botkin de l’UniversitĂ© de l’Utah. Les mĂ©decins s’efforcent de se montrer non directifs» ou neutres» quand ils remettent les rĂ©sultats des examens prĂ©nataux. Mais la prise de dĂ©cision commence dĂšs le moment oĂč l’on choisit les tests. La dĂ©ontologie dĂ©termine un minimum, Ă  savoir le moins qu’un mĂ©decin est tenu de faire dans telles circonstances. Avec le dĂ©veloppement de la gĂ©nĂ©tique, elle va devoir prĂ©voir aussi un maximum. Cela dit, les mĂ©decins ne peuvent Ă  eux seuls fixer les limites elles nĂ©cessitent un large dialogue besoin de dĂ©bat public est peut-ĂȘtre le seul point qui fasse l’unanimitĂ©. Si nous commençons Ă  parler de “toiletter” les ĂȘtres humains dĂšs l’utĂ©rus, c’est qu’il y a vraiment quelque chose qui va mal dans notre sociĂ©tĂ©. La solution est en partie lĂ©gislative, mais elle exige aussi que la culture de la sociĂ©tĂ© d’abondance soit modifiĂ©e. Nous vivons une Ă©poque de triomphe autoproclamĂ© du capitalisme, estime Philip Kitcher. Cette concurrence est-elle bonne pour nous et pour nos enfants?»RDLibellĂ©s États-Unis scĂ©narios de rĂȘve ou cauchemars?
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LesÉtats Unis rĂȘve ou cauchemar ? Suivre le programme TKL Trader : http://bit.ly/tradertkl Suivre le programme TKL LFA
Une maison Ă  vendre Ă  Elgin, Illinois Etats-Unis, le 12 mai 2009, en pleine crise des subprimes OLSON Dans le salon de l'appartement qu'il loue aujourd'hui Ă  Coral Springs, au nord de Miami en Floride, le pĂšre de famille de 57 ans a la gorge nouĂ©e Ă  l'Ă©vocation de ses dĂ©boires immobiliers. "Je me souviens que mes enfants Ă©taient trĂšs jeunes lorsque nous avons commencĂ© Ă  tout vendre", raconte-t-il. "Ils m'ont dit +Papa, oĂč est-ce qu'on va ?+ Et je leur ai rĂ©pondu que nous allions Ă  Disney World. Ils m'ont alors demandĂ© si Disney Ă©tait si cher que nous devions vendre le frigo et les lits". Durant les annĂ©es qui ont prĂ©cĂ©dĂ© la crise, accĂ©der Ă  la propriĂ©tĂ© Ă©tait d'une grande simplicitĂ©. Pas besoin de dĂ©montrer sa capacitĂ© de paiement les banques prĂȘtaient Ă  tout-va et les intermĂ©diaires engrangeaient des millions en revendant de la dette. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement JesĂșs RodrĂ­guez a Ă©migrĂ© aux Etats-Unis en 2005 avec sa famille pour fuir la crise politique frappant son pays, le Venezuela. Il a contractĂ© un emprunt peu de temps aprĂšs pour acheter un appartement qui lui donnait l'illusion de vivre le "rĂȘve amĂ©ricain", alors qu'il ne gagnait que dollars par mois comme employĂ© d'une imprimerie. "Mon voisin Ă©tait livreur de pizzas et il a obtenu le mĂȘme prĂȘt", relĂšve-t-il. Selon l'avocate Shari Olefson, spĂ©cialisĂ©e dans les saisies immobiliĂšres, la crise a Ă©tĂ© alimentĂ©e par les nombreux prĂȘts hypothĂ©caires Ă  haut risque - les subprimes - accordĂ©s par des banques "dĂ©terminĂ©es Ă  faire beaucoup d'argent". MalgrĂ© la hausse inquiĂ©tante des prix de l'immobilier et les mises en garde d'Ă©conomistes, "de nombreux AmĂ©ricains sans expĂ©rience dans les biens immobiliers ont cru qu'ils pouvaient devenir investisseurs", pointe l'experte, auteure de plusieurs livres sur le sujet. - Des dettes impayables - La bulle s'est finalement dĂ©gonflĂ©e, la valeur des biens s'est effondrĂ©e, les intĂ©rĂȘts ont augmentĂ©, les dettes ont atteint des niveaux absurdes et les gens ont arrĂȘtĂ© de payer. Les 4% d'intĂ©rĂȘts payĂ©s par JesĂșs RodrĂ­guez ont ainsi grimpĂ© Ă  14% en un an et sa dette est devenue "impayable". AprĂšs une deuxiĂšme hypothĂšque, la famille devait en 2008 quelque dollars pour un appartement dont la valeur avait chutĂ© Ă  dollars. "Les frais ont commencĂ© Ă  augmenter et, d'un coup, le nombre de dĂ©fauts d'emprunts a explosĂ©", dĂ©taille Mme Olefson. "Alors que davantage de gens faisaient l'objet de saisies, l'offre immobiliĂšre grossissait sur le marchĂ© et cela a commencĂ© Ă  faire baisser les prix. Et la panique s'est installĂ©e". Plus de la moitiĂ© des foyers de Floride Ă©taient concernĂ©s. La crise des "subprimes", qui a dĂ©marrĂ© en 2006 avant d'atteindre son paroxysme deux ans plus tard, a provoquĂ© la chute de banques et d'institutions financiĂšres. Ses rĂ©percussions spectaculaires partout dans le monde ont donnĂ© naissance Ă  la pire dĂ©pression Ă©conomique depuis les annĂ©es 1930. Selon un rapport de 2009 de RealtyTrac, une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e dans les donnĂ©es immobiliĂšres, l'annĂ©e 2008 a vu un nombre record de "dossiers de saisie". Quelque 3,1 millions d'entre eux ont ainsi Ă©tĂ© ouverts en 2008 aux Etats-Unis, soit 81% de plus que l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente et 225% de plus qu'en 2006. Parmi les Etats les plus touchĂ©s le Nevada, l'Arizona et la Floride, oĂč 4,5% des biens immobiliers Ă©taient alors concernĂ©s par un dossier de saisie. - Et maintenant ? - Ironie du sort, JesĂșs RodrĂ­guez travaille aujourd'hui comme conseiller financier pour une compagnie d'assurances. "J'aide dĂ©sormais les gens Ă  ne pas tomber comme j'ai pu le faire, Ă  ne pas s'endetter autant", confie-t-il. "Je leur apprends Ă  s'occuper de leur indĂ©pendance financiĂšre, de leur Ă©pargne, de leur fonds de pension et de ce genre de choses. C'est comme un renvoi d'ascenseur". Les experts estiment que le systĂšme financier a tirĂ© les leçons de ses erreurs et qu'il est peu probable de voir se produire Ă  nouveau une crise hypothĂ©caire du mĂȘme genre, notamment parce qu'il est plus difficile d'accĂ©der Ă  un emprunt. Les plus lus OpinionsLa chronique d'Albert MoukheiberAlbert MoukheiberLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris VallĂ©eLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain Fort ÉtatsUnis d’Europe ou FĂ©dĂ©ration EuropĂ©enne des RĂ©gions Il arrive parfois que la thĂ©orie des types logiques de Bertrand Russell puisse encore nous servir. Le drame actuel de l’Europe repose sur une erreur logique; celle de penser qu’un ensemble d’États, pour certains d’entre eux millĂ©naires, pourrait constituer un État.
Accueil Actions sociales TĂ©moignages Du rĂȘve amĂ©ricain au cauchemar comment la vie de Bernard a basculĂ© Texte prĂ©sentation La vie lui tendait les bras. A 24 ans, Bernard vivait le rĂȘve amĂ©ricain. Patron d’un restaurant huppĂ© aux Etats-Unis, il Ă©tait loin du monde du chĂŽmage, de la maladie. Mais un jour sa vie a basculĂ© il a mis la clĂ© sous la porte, a divorcĂ© et a contractĂ© un cancer du systĂšme immunitaire
 Aujourd’hui, il est accueilli Ă  la CitĂ© de Refuge, gĂ©rĂ©e par la Fondation de l’ArmĂ©e du Salut. DĂ©couvrez son histoire. Image Ă  la une Nom, prĂ©nom tĂ©moignage Bernard DĂ©tail sur la personne RĂ©sident de la CitĂ© de Refuge Blocks Redacteur Texte 1984. AĂ©roport Charles-de-Gaulle. Vol pour Miami. Un visa de 15 jours pour les Etats-Unis. Devant moi, une nouvelle vie dans un pays que je ne connais pas. DerriĂšre moi, 24 ans d’une vie que j’ai partagĂ© entre une enfance en Bretagne, une formation et un diplĂŽme de cordon bleu et les cuisines de diffĂ©rents restaurants. AprĂšs avoir dĂ©crochĂ© mon diplĂŽme de cuisine reconnu Ă  l’international, j’ai fondĂ© une crĂȘperie en partenariat avec un ami, dans le sud de la France, l’affaire a durĂ© deux ans avant de pĂ©ricliter. J’ai donc dĂ©cidĂ© de venir m’installer Ă  Paris, dans les annĂ©es 1980. J’ai signĂ© un contrat au sein du groupe Flo, l'un des principaux groupes de la restauration française. J’y travaillais comme maĂźtre d’hĂŽtel avant de devenir directeur du restaurant Julien, rue Faubourg Saint-Denis. A l’époque, je gagnais l’équivalent d’environ 7 000 euros par mois, plus qu’un mĂ©decin. J’habitais dans le 15e arrondissement de la capitale avec ma compagne, qui Ă©tait hĂŽtesse de l’air. Patron d'un restaurant français aux Etats-Unis Puis un jour, j’ai dĂ©cidĂ© de changer de vie et d’aller m’installer aux Etats-Unis. Une page de ma vie tournait. Ma nouvelle vie c’était ma compagne et mon futur enfant. Je me suis installĂ© avec elle sur la cĂŽte Ouest. Durant mes 6 premiers mois Outre-Atlantique, j’apprenais l’anglais, en attendant d’obtenir un permis de travail ». En aoĂ»t 1984, j’obtiens le droit de travailler et je commence par commis de salle et j’enchaĂźne deux, trois petits boulots. GrĂące Ă  mes diffĂ©rentes rencontres dans le milieu de la restauration, j’ai pu entreprendre le projet d’ouvrir mon propre restaurant. Un restaurant qui servait des plats français et des plats de la cuisine continentale. Dans mon restaurant, venaient les adeptes du Finger food, la nourriture qui se mange avec les doigts. J’avais amĂ©nagĂ© une partie du restaurant en bar, d’autres clients venaient ainsi voir des matches de compĂ©titions sportives, parfois ils Ă©taient plus de 600 Ă  venir dans mon bar. Pendant 20 ans, entre 30 et 40 personnes travaillaient sous ma direction. Block Texte + Image Texte En plus d’ĂȘtre patron d’un restaurant, j’étais Ă©galement bĂ©nĂ©vole dans une association Ă  but non-lucratif qui vient en aide aux personnes sans domicile en leur proposant des ateliers de lecture, des sĂ©ances de dĂ©sintoxication, de formation professionnelle. En 2006, pour diverses raisons surtout familiales, j’ai dĂ» fermer le restaurant. Sans emploi, j’ai Ă©tĂ© embauchĂ© au sein de l’association et j’y ai travaillĂ© pendant 4 ans. En 2010, j’apprends que ma mĂšre est souffrante. Je rentre alors Ă  Paris. Et en 2012, alors que j’envisage de retourner aux Etats-Unis, je suis hospitalisĂ© Ă  l’hĂŽpital Saint-Joseph on me diagnostique un cancer du systĂšme immunitaire
 Le traitement que je suis est lourd et je vis alors grĂące Ă  l’argent que j’ai gagnĂ© aux Etats-Unis. En 2014, faute de ressources suffisantes, mon oncologue m’oriente vers la CitĂ© de Refuge, gĂ©rĂ©e par la Fondation de l’ArmĂ©e du Salut et qui accueille plus de 300 personnes en difficultĂ©. Je me bagarre pour vivre, cela me donne de l’espoir Depuis plus de 4 ans, je vis dans une chambre de ce bĂątiment construit par Le Corbusier. En 2016, quand je pensais ĂȘtre rĂ©tabli, je souhaitais retourner aux Etats-Unis mais j’ai fait un AVC. Pendant 50 ans je n’ai jamais Ă©tĂ© malade et aujourd’hui je suis handicapĂ©. L’oncologue qui me suit m’a interdit de prendre l’avion tant que je ne suis pas guĂ©ri. Aujourd’hui, je suis loin de mes proches et je passe plus de temps en salle de consultation qu’en cuisine. Mais ici, Ă  la CitĂ© de Refuge, j’ai une tranquillitĂ© d’esprit, je m’occupe en participant Ă  des activitĂ©s comme les visites organisĂ©es de la CitĂ© de Refuge pour le grand public, je propose aussi des ateliers de cuisine aux rĂ©sidents et j’assiste Ă  des sorties au théùtre et Ă  des concerts. En 2017, j’ai fait une demande de logement avec une rĂ©fĂ©rente sociale de la CitĂ© de Refuge. Une rĂ©fĂ©rence sociale, qui est vraiment prĂ©sente et qui m’écoute rĂ©ellement. Mon espoir ? Je me bagarre pour vivre, cela me donne de l’espoir. Et les mĂ©decins, en 2012, m’avaient donnĂ© deux mois pour vivre et nous sommes en 2018
 »
nationalde Yellowstone, aux États-Unis. Or ce parc immense – quasiment la surface de deux dĂ©partements – qui nourrit beaucoup de bisons et de cerfs, mais aussi divers prĂ©dateurs, a Ă©tĂ© vidĂ© des AmĂ©rindiens, puis de toute activitĂ© agricole. De

36 Et c'est la mm chose dans le monde entier ....non??? non ici en france tu as des allocations en cas de faillite financiĂšre on te laisse pas crever dans ton coin 37 non ici en france tu as des allocations en cas de faillite financiĂšre on te laisse pas crever dans ton coin j'ai jamais vu quelqu'un crever dans un coin ici non plus Il y 'en a ici mais les gens preferent ne pas les utilisersauf les mexicains bien sur......et je parle du state ou je suis 38 Il faut pas exagerer quand meme J'y Ă©tais, je sais de quoi je parles 39 J'y Ă©tais, je sais de quoi je parles Moi je vis ici et je sais ce que je vois Ca depent ou tu etais???? 40 Salam Beaucoup de personne que j'ai croisĂ© en France rĂȘve un jour de vivre aux Etas Unis...Et vous pour moi ca serait un cauchemar de vivre dans une gde ville amĂ©ricaine... je vis trĂšs bien en france, je fais ce que j'aime ici... 41 nen pas tu tout, pour qui me prenait vous je vide simplement mon esprit pour echanger mdr Tu es en bonne voie , continue 42 mdr Tu es en bonne voie , continue LOLLLLLLLLLLL .................. 43 Je rajouterais juste qu il y a environ 6 millions de musulmans chez le grand satan Comme quoi l enfer peut avoir de bon cotĂ© 44 je vide le fond de mes pensĂ©e je sais pas quand je regarde des sĂ©ries comme Desperate Housewives... Je me dis Houllla l'architecture, le modernisme tout ca ca fait rever pas vous 45 je vide le fond de mes pensĂ©e je sais pas quand je regarde des sĂ©ries comme Desperate Housewives... Je me dis Houllla l'architecture, le modernisme tout ca ca fait rever pas vous Moi j'dis qu't'es une grande rĂȘveuse joliecoeur 46 Moi j'dis qu't'es une grande rĂȘveuse joliecoeur c'est vrai c'est tjs ca de prie 47 salam HonnĂȘtement les Etat Unis pour plusieurs rasisons Le travail La vie en couple comment ça ? la vie en couple est meilleure aux USA ? 48 comment ça ? la vie en couple est meilleure aux USA ? Daba 3ad jiti ntya ?? 49 comment ça ? la vie en couple est meilleure aux USA ? salam Nen je voulais dire la bas niveau logement pour faire ta vie de couple c'est super 50 Daba 3ad jiti ntya ?? 3lach j'ai loupĂ© quelque chose ? 51 comment ça ? la vie en couple est meilleure aux USA ? Kat tetbe3 desperates housewifes 52 je vide le fond de mes pensĂ©e je sais pas quand je regarde des sĂ©ries comme Desperate Housewives... Je me dis Houllla l'architecture, le modernisme tout ca ca fait rever pas vous quand on a de l'argent il fait bon vivre partout... 53 salam Nen je voulais dire la bas niveau logement pour faire ta vie de couple c'est super je ne sais pas si c'est le cas car je n'y ai jamais Ă©tĂ©! mais il y a pas mal de tĂ©moignages positifs Ă  ce propos de la part des marocaisn qui vivent la bas! 54 je ne sais pas si c'est le cas car je n'y ai jamais Ă©tĂ©! mais il y a pas mal de tĂ©moignages positifs Ă  ce propos de la part des marocaisn qui vivent la bas! Au mĂȘme titre des "tĂ©moignages positifs" de la France au "bled" 55 je ne sais pas si c'est le cas car je n'y ai jamais Ă©tĂ©! mais il y a pas mal de tĂ©moignages positifs Ă  ce propos de la part des marocaisn qui vivent la bas! aH Bon raconte parce que les films americans motre le contraire 56 aH Bon raconte parce que les films americans motre le contraire ...................... 57 ...................... je pourrai t'en citer plein Desperate Housewives... mĂȘme dans les ghettos ils ont des super baraque avec cuisine Ă©quipĂ©, jardin 58 aH Bon raconte parce que les films americans motre le contraire qu'est ce que tu veux que je raconte desperate housewives 59 je pourrai t'en citer plein Desperate Housewives... mĂȘme dans les ghettos ils ont des super baraque avec cuisine Ă©quipĂ©, jardin Quel Ăąge as-tu JolieCoeur?? 60 je pourrai t'en citer plein Desperate Housewives... mĂȘme dans les ghettos ils ont des super baraque avec cuisine Ă©quipĂ©, jardin heu tu es sĂ»re ? dans les ghettos ils ont des super baraques et des cuisines Ă©quipĂ©es??? je crois que tu confonds avec le Sultanat de BruneĂŻ 61 qu'est ce que tu veux que je raconte desperate housewives Pas la peine, elle fait ke ça , regarder ces foutus sĂ©ries !!!!! 62 Pas la peine, elle fait ke ça , regarder ces foutus sĂ©ries !!!!! Le rĂȘve americains !!!!!!!!!!!!!! 63 Quel Ăąge as-tu JolieCoeur?? j'ai dĂ» dĂ©jĂ  lui poser la question au moins 2 fois surtout qd son profil affichait 29... moi je pense 19 et toi? 64 Le rĂȘve americains !!!!!!!!!!!!!! j'allais dire qqch mais je vais m'abstenir... 65 j'ai dĂ» dĂ©jĂ  lui poser la question au moins 2 fois surtout qd son profil affichait 29... moi je pense 19 et toi? 17 ............. 66 j'allais dire qqch mais je vais m'abstenir... va y please dit le moi moi et toi on se dit tous 67 va y please dit le moi moi et toi on se dit tous si je te disais vraiment tout ce que je pense bonjour le grabuge... tu vas pas ĂȘtre contente dc je me tais 68 17 ............. merci pour moi c'est pas gentil eh ben je crois que je me suis fait des enemis sur bladi 69 merci pour moi c'est pas gentil eh ben je crois que je me suis fait des enemis sur bladi ca n'a rien Ă  voir avec ennemis ou amis... c'est juste la cohĂ©rence des propos miss... 70 Pas la peine, elle fait ke ça , regarder ces foutus sĂ©ries !!!!! mais elles sont malheureuses en plus ces femmes lĂ  regarde Bree avec son fusil la pauvre elle fait de la peine

Onnous a longtemps vendu le « rĂȘve amĂ©ricain » mais on ne nous a jamais assez parlĂ© du « cauchemar amĂ©ricain ». Oui tu l’as compris, le bonheur ne se trouve pas toujours chez les autres et je me suis donnĂ© la dĂ©licate tĂąche de le dĂ©montrer preuve Ă  l’appui dans cet article. En parcourant la presse1 depuis le mois de mai 2009, nombre de faits et chiffres peuvent ĂȘtre collationnĂ©s qui rĂ©vĂšlent, au-delĂ  de la bien-pensance libĂ©rale, la rĂ©alitĂ© du cauchemar Ă©tats-unien. Les rutilantes images tĂ©lĂ©visuelles de l’AmĂ©rique sont l’arbre qui cache la forĂȘt de l’extrĂȘme fragilitĂ© de cette sociĂ©tĂ©, y compris en Californie et en Floride, Etats fĂ©dĂ©raux rĂ©putĂ©s les plus riches de l’Empire. MalgrĂ© des inĂ©galitĂ©s vertigineuses, les dominants, le capital financier prospĂšrent dans la crise car, pour eux, la propriĂ©tĂ© c’est le vol » non pas dans le sens oĂč l’entendait Proudhon, mais dans celui de la ponction financiĂšre Ă©tendue Ă  l’ensemble du monde. Le sens commun incite Ă  penser que ce qui vient d’Outre Atlantique met plusieurs mois Ă  traverser l’ocĂ©an
 Au-delĂ  de la crise financiĂšre, l’horreur sociale globaleLe plan de relance d’Obama, les 787 milliards de dollars infectĂ©s ont, pour l’essentiel, servi Ă  sauver les banques qui sont, de fait, des plus rĂ©ticentes Ă  financer l’économie dite rĂ©elle. Elles se reconstituent leurs marges pharaoniques en se nourrissant des Ă©missions de dettes des entreprises et en spĂ©culant sur les marchĂ©s, ce qui leur a valu une condamnation 
 sans effet, d’Obama, stigmatisant la cupiditĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e ». Les mĂ©dias nous ont montrĂ© que la pointe Ă©mergĂ©e de l’iceberg, ces quelques traders Ă©jectĂ©s de Wall Street, ignorant la masse de 242 000 salariĂ©s du secteur financier depuis le dĂ©but 2008. De fait, la rĂ©alitĂ© du peuple Ă©tats-unien est toute autre si l’on examine les chiffres du chĂŽmage, de la prĂ©caritĂ©, de la santĂ© et mĂȘme de la pauvretĂ© qui gangrĂšne cette sociĂ©tĂ© que surplombe une minoritĂ© de la crise a commencĂ© par l’effondrement des subprimes, par cet endettement massif d’insolvables qui avaient rĂȘvĂ© de devenir propriĂ©taires de leur habitation, Ă©voquons d’abord cette situation de crise du logement le nombre de saisies immobiliĂšres atteint le chiffre de 2,3 millions, 15,2 millions d’emprunteurs immobiliers doivent dĂ©sormais plus d’argent que n’en vaut leur habitation et 13 % d’entre eux, insolvables, sont expulsĂ©s ou en voie de l’ĂȘtre. C’est que le marchĂ© s’est dramatiquement contractĂ© le recul des prix est de 48 % Ă  Miami, il atteint 50 % Ă  Los Angeles. Si les transactions reprennent c’est que nombre d’aigrefins en profitent pour faire de bonnes affaires dans un proche avenir, car l’on compte 700 000 habitations vides, excĂ©dentaires et correspondant au boom immobilier qui avant la crise n’avaient pas trouvĂ© preneur, ce qui Ă©quivaut Ă  un an de production de cette situation dramatique est venue s’ajouter les licenciements massifs. En 18 mois, le chĂŽmage a augmentĂ© de 92 % pour atteindre un taux de 9,5 % des actifs en juin, les 10 % pourraient ĂȘtre dĂ©passĂ©s enfin d’annĂ©e. De dĂ©cembre 2007 Ă  juin 2009, 6,5 millions d’emplois ont Ă©tĂ© supprimĂ©s. Ces chiffres sous estiment d’ailleurs la rĂ©alitĂ©. Ils ne prennent pas en compte le chĂŽmage technique imposĂ©, ni les temps partiels contraints 16,4 % des actifs et encore moins le fait qu’au bout de 7 mois de chĂŽmage, les indemnitĂ©s cessent et que les chĂŽmeurs disparaissent des statistiques. Certes, de 690 000 chĂŽmeurs de plus chaque mois, de janvier Ă  mars, le chiffre aurait baissĂ© Ă  345 000 mais la purge continue et les patrons n’embauchent plus. Pour ne prendre qu’un exemple emblĂ©matique, celui de GĂ©nĂ©ral Motors, c’est la moitiĂ© des 605 000 salariĂ©s qui a Ă©tĂ© licenciĂ©e, les 50 milliards de dollars d’aide de l’Etat n’ont servi, bien Ă©videmment, qu’à rembourser les crĂ©anciers et les actionnaires. Pensez donc ! Les actions GM de ces malheureux propriĂ©taires valant encore 17 dollars chacune en avril 2008 ne reprĂ©sentaient plus que dollars au 25 mai 2009 ! Ce n’est pas eux qui doivent payer la crise ! NouveautĂ© dont on parle peu, c’est la baisse non nĂ©gligeable des salaires, de – 6 Ă  – 20 %. Un quart des salariĂ©s seraient touchĂ©s. C’est ainsi que pour augmenter sa profitabilitĂ© » Hellwet Packard a rognĂ© 13,5 % de sa masse matiĂšre de santĂ© Obama serait le symbole du renouveau ! Quoique ! Les compagnies d’assurances dĂ©versent des millions de dollars pour bloquer son projet dĂ©jĂ  bien mal en point et alimenter une campagne rĂ©actionnaire contre son communisme Ă©tatique » d’assistance publique. Et pourtant les chiffres parlent d’eux-mĂȘmes seuls 58 % des Etats-uniens ont une assurance SantĂ© qui leur coĂ»te la peau des fesses quand ils sont remboursĂ©s des frais mĂ©dicaux engagĂ©s2 ; prĂšs de 50 millions n’ont aucune couverture soit 16,5 % de la population. Avec les licenciements massifs, l’impossibilitĂ© de continuer Ă  payer leur assurance, 2,4 millions de travailleurs ont perdu leur couverture santĂ©3. Il existe bien une assurance publique, Medicare, mais elle est rĂ©servĂ©e aux trĂšs faibles revenus, aux handicapĂ©s, aux ex-combattants ; il s n’ont droit qu’à des soins rĂ©duits, Ă  la chaĂźne et ce systĂšme est lui-mĂȘme Ă  bout de souffle 2 000 milliards de dettes.Dans leur grande masse, aprĂšs avoir vĂ©cu Ă  crĂ©dit, les AmĂ©ricains se dĂ©couvrent pauvres. On les a incitĂ©s Ă  collectionner jusqu’au vertige les cartes de crĂ©dits ; leurs engagements financiers, en moyenne et par mĂ©nage, reprĂ©sentent 140 % de leurs revenus ce qui Ă©quivaut globalement 1 914 milliards de dettes, soit 8 329 dollars par foyer. Ces moyennes ne disent rien du chaos des existences dĂ©labrĂ©es dans les quartiers dĂ©shĂ©ritĂ©s oĂč croupissent en majoritĂ© les Noirs et les Hispaniques d’origine, ni de leurs conditions d’hygiĂšne et d’alimentation dĂ©plorables. Dans son enquĂȘte la journaliste Corinne Lesnes rapporte dans le Monde4 que 12,5 millions d’enfants s’ont pas assez Ă  manger et que 30 millions de bons d’alimentation sont distribuĂ©s chaque mois. Paradoxe dans cet univers impitoyable une seule catĂ©gorie trouve du travail, des petits boulots, c’est celle des plus de 55 ans qui ont vu leur Ă©pargne retraite s’effondrer et leurs quelques Ă©conomies s’effilocher. Mais pour les dominants c’est plutĂŽt le Vive la crise » qui domine. RĂȘver sur la dĂ©tresse du plus grand nombreLes USA ce n’est pas seulement un dĂ©ficit public de 1 000 milliards de dollars qui atteindrait 1 800 en fin d’annĂ©e, ni celui d’un dĂ©ficit public-privĂ© cumulĂ© qui culminerait Ă  3 000 milliards de dollars au cours des deux prochaines annĂ©es, c’est aussi pour les crĂ©anciers qui en profitent Ă  un taux d’intĂ©rĂȘt de 3,4 % sur 10 ans pour les emprunts d’Etat, l’assurance tous risques que leurs rentes vont fructifier, du moins en sont-ils convaincus. Banquiers, spĂ©culateurs et autres traders assurĂ©s que l’Etat fĂ©dĂ©ral ne peut que les renflouer avec l’argent des contribuables, et ce, parce qu’ils sont trop gros pour sombrer, font preuve de leur esprit prĂ©dateur Ă  toute Ă©preuve. Les exemples abondent la banque Goldmann Sachs qui en juillet a bĂ©nĂ©ficiĂ© de 3,4 milliards de dollars de fonds publics, en aoĂ»t provisionne 20 milliards de bonus. Il est vrai que son PdG a demandĂ© Ă  ses golden boys de faire preuve de retenue », afin qu’ils ne soient pas vus en train de mener grande vie » dans la misĂšre ambiante. Comme dirait Michel Sapin, secrĂ©taire Ă  l’économie et Ă  la fiscalitĂ© du parti SolfĂ©rino un trader comme un commerçant a besoin d’une rĂ©munĂ©ration variable, c’est son salaire, il ne faut pas tomber dans la folie anti-bonus ». Peu importe que ces 20 milliards Ă©quivalent Ă  la somme d’ailleurs insuffisante allouĂ©e par le G8 Ă  la lutte contre la faim dans le monde. De compassion point trop n’en faut ! En revanche, la gloutonnerie des prĂ©dateurs ne connaĂźt pas d’indigestion Citigroup qui a perçu 45 milliards de dollars de l’Etat fĂ©dĂ©ral, en dĂ©pit d’une perte de 18,7 milliards enregistrĂ©e sur l’exercice, n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  verser Ă  ces 738 cadres les plus haut placĂ©s 1 million de dollars. Mieux ! Bank of AmĂ©rica sur les 45 milliards d’aide perçus, 3,3 milliards ont Ă©tĂ© aux dirigeants, 172 d’entre eux ont reçu 1 million de dollars. Encore plus fort Merrill Lynch a distribuĂ© 3,2 milliards et 4 des plus hauts dirigeants ont perçu chacun 121 millions. Pour eux, le rĂȘve amĂ©ricain est tangible, comme pour tous ceux qui spĂ©culent de nouveau sur le pĂ©trole. Plus de 25 milliards, au cours des 6 derniers mois, furent investis sur des contrats futurs, la spĂ©culation est repartie comme avant, si bien qu’un trader de Citigroup, spĂ©cialisĂ© dans les hydrocarbures devrait toucher le modique bonus de 100 millions de dollars5. Quant au PDG de la Morgan Stanley, lui, reste raisonnable 
 AprĂšs avoir rĂ©organisĂ©, licenciĂ©, il a maintenu son salaire Ă  800 000 dollars annuels tout en remotivant ses sbires. Son directeur financier et d’autres lui, a vu son salaire fixe augmenter de plus du double 752 000 dollars, c’est quand mĂȘme mieux que 323 000 surtout que son bonus, sa part variable, a connu Ă©galement un bond apprĂ©ciable de + 25 Ă  30 %. A ces gens-lĂ , il convient de maintenir », comme l’a dĂ©clarĂ© ce PDG, le goĂ»t du risque »6. Qu’importe la mise en pĂ©ril du systĂšme ! Les 700 000 milliards de dollars de produits financiers dĂ©rivĂ©s sont de nouveau sensĂ©s rapporter des rentes faramineuses d’autant que des contrats d’assurances sont souscrits pour protĂ©ger ces investisseurs » spĂ©culatifs des risques de faillite et de dĂ©faut de paiement, au taux de 25 % au cours des 50 prochaines annĂ©es ! Ce qui fait s’exclamer Daniel Cohen, l’économiste libĂ©ral hier, alarmiste aujourd’hui qu’aucune institution financiĂšre ne pourrait honorer de tels engagements en cas de dĂ©faut de paiement amĂ©ricain » et de nous promettre dans une telle hypothĂšse une inflation catastrophique et des faillites en Europe7. D’autres comme Yves Manon s’effarouchent de l’effondrement de la consommation Ă©tats-unienne. Ce sont 700 milliards qui manquent dĂ©sormais pour faire tourner les usines en Chine et en Inde et de nous certifier que si les biens de consommation importĂ©s aux USA se tarissent, c’en est fini de la croissance car aucun autre relais n’existe. Les G20 et autres G8 ont beau se succĂ©der, la grande mascarade sur la moralisation du capitalisme n’a guĂšre produit d’effets sur les droguĂ©s du nĂ©olibĂ©ralisme. IntoxiquĂ©s par leur aviditĂ©, leur soif de profits immĂ©diats, agrippĂ©s Ă  leurs sinĂ©cures, drapĂ©s dans l’apparence des bonnes maniĂšres, ils seront les premiers Ă  s’insurger si l’on s’attaquait Ă  leurs prĂ©bendes et Ă  crier en chƓur c’est du communisme, on veut spolier la propriĂ©tĂ©. Quel journaliste d’investigation oserait braver la lĂ©gislation des Ăźles CaĂŻman ? Le secret bancaire y est bien gardĂ©, la divulgation d’informations est un dĂ©lit passible de 2 ans de prison. Avis aux amateurs ! La liste des paradis fiscaux a certes Ă©tĂ© blanchie, la Suisse a promis, d’autres se prĂ©tendent moins opaques mais les rĂšgles cyniques restent en place rançonner les profits industriels et commerciaux. On ne change pas les mentalitĂ©s des vautours ni des barons voleurs »8. Leur seul Dieu, c’est le veau d’or, leur rĂȘve de croissance c’est toujours exploiter davantage 
 jusqu’à la prochaine crise financiĂšre. Pour les classes populaires, les consĂ©quences en seront dramatiques. On en mesure dĂ©jĂ  les effets en Floride et en Californie, les deux Etats les plus riches ! des Etats-Unis.suite au prochain numĂ©roGĂ©rard Deneux le . 289 95 18 186 306 226 120 413

vivre aux etats unis reve ou cauchemar