Maisla téléassistance est un moyen qui permet de ne plus angoisser. A l’aide d’un médaillon ou d’une montre, un système de téléradio relie la personne âgée à un centre d’écoute. Le système se met en route quand la personne tire ou appuie sur un bouton et la met en relation directe. Les personnes du centre d’écoute prennent les mesures nécessaires pour une aide à la La téléassistance classique se base sur des technologies âgées montrant leurs limites en termes de mobilité et de communication. Aujourd’hui, la très grande majorité des systèmes de téléassistance couple un bracelet ou collier émetteur et une borne haut-parleur qui fait la liaison avec le plateau de téléassistance. Cette technologie, déjà en place il y a 30 ans, utilise des échanges radios courte portée entre le module embarqué et la borne. La communication depuis le bracelet se limite à un signal d’alerte, son autonomie est de l’ordre de plusieurs années. Par contre, il est impossible de parler à travers celui-ci. La borne, elle, communique avec le plateau de téléassistance à travers la ligne téléphonique rendant obligatoire une ligne filaire en fonctionnement. Ce système a trois limites Il ne s’adapte pas à la tendance actuelle du marché de remplacer la téléphonie fixe par une téléphonie mobile ou passant par une box Il ne permet pas une communication orale entre le standard et la personne âgée en dehors de la pièce où se situe la borne Il ne fonctionne qu’à 30 m de la borne 100 m sans obstacle, devenant inutile en dehors du foyer. Ce manque d’assurance à l’extérieur se traduit concrètement par une peur pour certaines personnes âgées de sortir seules. Les réseaux GSM/GPRS ont amené la mobilité au détriment de l’autonomie, pouvant générer un véritable danger pour la personne âgée La miniaturisation de l’électronique a permis d’intégrer les réseaux mobiles dans des objets dédiés comme des bracelets. Ces nouvelles solutions semblent tout à fait pertinentes pour résoudre les limites de mobilité des systèmes historiques. En contrepartie, la consommation induite par cette technologie force l’usager à recharger son appareil tous les 2-3 jours. Ainsi, le retour d’expérience des utilisateurs actuels montre que Certaines personnes oublient consciemment ou inconsciemment de porter leur appareil Un nombre important de chutes se produisent pendant la nuit, moment où la recharge est généralement réalisée. Cette contrainte semble rédhibitoire pour un système d’alerte où, au lieu d’être porté en permanence, la technologie force à enlever le bracelet très régulièrement. L’autre solution qui se développe autour du GSM/GPRS consiste en une adaptation de téléphones mobiles aux personnes âgées plus grande police d’écriture, moins de boutons…. Cette solution soulève la difficulté d’accès à l’appareil au fond de la poche, dans le sac à main pour signaler une alerte, surtout considérant que 4/5 des personnes équipées de systèmes traditionnel n’alertent déjà pas lors d’une chute. Les réseaux dédiés aux objets connectés sacrifient le volume de données échangés pour proposer un service adéquat aux besoins des seniors Les réseaux basses fréquences combinent les avantages des réseaux GSM par la portée d’émission qu’ils permettent et ceux des échanges radio courte portée par la consommation d’énergie qu’ils induisent entre 20 et 40 fois moins que le GSM. Cette faible consommation est rendue possible par la limitation du volume des données échangées à quelques kilobytes. Ainsi, avec une solution qui s’appuie sur des réseaux basses fréquences, il est impossible de discuter ou de montrer des images en direct. Par contre, on peut envoyer des messages simples comme la position ou le type de danger identifié. Pour la téléassistance, cela se traduit par de nouvelles opportunités. Il est maintenant possible de réaliser des bracelets indépendants d’une borne, fonctionnant tant en intérieur qu’en extérieur, que l’utilisateur n’a jamais besoin d’enlever. Sources Blog IoT, M2M, quick panorama on main technologies ; Europ Assistance ; Afrata ; 60 millions de consommateurs ; Musée de la téléphonie Lenombre de personnes de 60 ans et plus progresserait de 67% d’ici 2040, atteignant 22,6 millions, contre 13,5 millions en 2007. Non seulement elles sont beaucoup plus nombreuses mais leurs profils et attentes sont de plus en plus subtiles et variables selon leur catégorie sociale, revenus, bagage éducatif et culturel. Cette révolution dont on a pleinement La téléassistance est un système principalement destiné aux personnes âgées ou handicapées, qui vivent à domicile. Ce service proposé par la mairie, la caisse de retraite ou la mutuelle, fait l'objet de démarcheurs sans scrupule. Une pratique à laquelle s'attaque Que Choisir. Il s'agit d'un dispositif composé d'un médaillon/une montre que porte la personne ; ainsi que d'un matériel placé à la maison qui lui permet d'être reliée à une centrale d'écoute en cas de souci. La personne appuie sur le bouton placé sur son médaillon/sa montre et est automatiquement mise en relation avec la centrale. Celle-ci fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. A l'autre bout du fil la personne sait de suite qui a déclenché l'alerte, où elle habite, quels sont ses antécédents médicaux et qui il faut contacter. Car le système fonctionne avec ce qu'on appelle un réseau de solidarité de la famille, des voisins, des amis qui ont les clefs et qui peuvent intervenir. Les types d'intervention ? On considère que seuls 10% des appels répondent à une réelle urgence médicale, on fera intervenir selon les cas, le généraliste de la personne, le samu, les pompiers... Le réseau de solidarité n'est là que pour faciliter l'accès au logement et éviter ainsi aux services de secours de briser une fenêtre ou une serrure pour pénétrer dans le logement. Tout le reste relève plutôt de petits soucis quotidiens et le voisinage peut alors intervenir. Pour changer une ampoule, parce que la canne a glissé sous le lit et qu'on ne parvient pas à la récupérer, etc... Il y a aussi des appels dits de convivialité. Les personnes parfois isolées, en zone rurale comme dans les grandes villes, éprouvent le besoin de parler, de faire part d'une angoisse etc... Les gens sur le plateau sont en principe formés à cela aussi. Le coût de ce service C'est très variable. Les montants facturés varient de 0 à 90€ pour l'installation du matériel et de 6 à 59€ pour l'abonnement mensuel. Il faut savoir qu'il existe des aides pour diminuer ce coût, de la part des mairies, des caisses de retraite ou du conseil général pour les personnes plus dépendantes. Depuis 2007 la téléassistance, qui existe depuis une bonne trentaine d'année, fait partie des services à la personne SAP et à ce titre elle donne droit à des réductions d'impôts. Pour les retraités il existe seulement des réductions d'impôt mais pas de Crédit d'impôt, à la différence du reste de la population. Attention aux pratiques commerciales douteuses Depuis quelques années on voit des gens sans scrupules démarcher les aînés à domicile, parfois même en se présentant comme faisant partie de la mairie et voulant leur présenter le nouveau matériel plus performant. Ils informent mal les seniors sur les coûts, ou leur font miroiter des aides qui n'existent pas, le matériel n'est pas toujours fiable et la centrale d'appels parfois aux abonnés absent. Cerise sur le gâteau, ils font signer des contrats longue durée en général 4 ans avec de fortes pénalités en cas de résiliation anticipée. Nous avons beaucoup de litiges sur le sujet dans nos associations locales et les demandes pouvaient s'élever à des sommes de à 1800€ pour résilier ! Un contrat doit pouvoir être résilié à tout moment, moyennant un préavis de un à trois mois par exemple. Les précautions à prendre Se renseigner auprès de la mairie, de sa caisse de retraite ou de sa mutuelle. Ils proposent parfois ce type de prestation ou interviennent financièrement pour payer une partie des frais. Savoir que même si on a signé un contrat, on dispose d'un délai de 7 jours de réflexion et que pendant ce temps aucune somme d'argent ni chèque, ni RIB ne peut vous être demandé. Mieux vaut toujours en parler avec de la famille, demander conseils. Vérifier le coût total avant de s'engager installation + abonnement mensuel, la durée du contrat et le délai de résiliation. Demander si l'installation est faite par un technicien qui se déplace à domicile et peut donc faire les tests de fonctionnement et expliquer comment ça marche, répondre aux questions... Demander aussi ce que prévoit le SAV changement de la pile, du cordon.... et si c'est inclus ou pas dans la prestation. En cas de problème, ne pas rester seul. Se faire aider par une association de défense des consommateurs et signaler ces dérapages aux pouvoirs publics DGCCRF. Que choisir va plus loin Que Choisir a saisi les pouvoirs publics et sera prochainement reçue par le Cabinet de la secrétaire d'état aux personnes âgées et la présidente de la commission des clauses abusives a répondu positivement à leur demande. Ils vont se pencher sur ces contrats qui en contiennent trop. Grâceà notre sélection des meilleurs équipements médicaux ou encore de la téléassistance pour les personnes âgées, il est très simple de rechercher et trouver sans sortir de chez soi, un matériel spécifique ou de trouver un service d’assistance à domicile. Le guide du Senior et du retraité facilite grandement la recherche de
Les risques de chute augmentent avec l’âge et représentent un réel enjeu en matière de santé publique. Alors que les chiffres sont inquiétants, il est toutefois possible d’atténuer ou d’écarter les risques de chute. Les seniors sont les plus exposés au risque de chute, avec le constat suivant Chaque année, les chutes touchent un tiers des personnes âgées de 65 ans et plus vivant à domicile. Près de 35 % des 65-80 ans et 55 % des plus de 90 ans. Ces accidents sont la première cause de mortalité par traumatisme. On dénombre 12 000 décès par an sur 2 millions de chutes chez les personnes âgées. 40 % des personnes hospitalisées après une chute ne peuvent plus retourner vivre à leur domicile. Ces événements, plus fréquents chez les personnes très âgées et les femmes, sont tout de même évitables lorsque l’on sait identifier les facteurs de risques et mettre en place des solutions adaptées. Si les effets du vieillissement sont inévitables, tous les individus ne sont pas touchés de la même manière le niveau d’activité, l’état de santé et le niveau de dépendance de deux personnes du même âge peuvent être très différents. Pour que la prévention soit efficace, il est important d’identifier tous les facteurs de risques pour chaque individu. Par ailleurs, si la personne est déjà tombée, les risques de rechuter sont multipliés par vingt.
Lemarché des Seniors est défini par l’ensemble de la consommation des 60 ans et plus, que ce soit pour des produits spécifiques ou des produits consommés par l’ensemble des générations.. Un marché des 150 milliards d’euros. Chiffré à plus de 150 milliards d’euros, le Marché des Seniors est en forte progression avec l’arrivée des Boomers à des âges plus avancés.
Chaqueannée, les chutes touchent un tiers des personnes âgées de 65 ans et plus vivant à domicile. Près de 35 % des 65-80 ans et 55 % des plus de 90 ans. Ces accidents sont la première cause de mortalité par traumatisme. On dénombre 12 000 décès par an sur 2 millions de chutes chez les personnes âgées.
Faceà la persistance des contournements, la Répression des fraudes a décidé d’aller plus loin cette année, en publiant le nom des sociétés épinglées. La société SAS Ocealis, démarchant sous le nom commercial « La Téléassistance » dans le domaine de la téléassistance à domicile pour personnes âgées, a ainsi été
. 454 61 241 351 296 318 273 408

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